Charles III : les médecins sont formels… c’est terminé
On ne présente plus Charles III. Depuis sa naissance, il se prépare à monter sur le trône. Or, rien ne se passe comme prévu pour le fils d’Elisabeth II. D’une part, son mariage avec Lady Di est une catastrophe. Ensuite, il enchaîne les polémiques avec son cadet, le prince Harry.
Enfin, depuis janvier 2024, sa santé décline. Aujourd’hui, il raconte l’envers du décor. Forcé de se plier au verdict des médecins, ses confidences ne laissent personne indifférent !
Charles III, un homme engagé

Il y a cinq décennies, Charles III fonde sa première organisation caritative. Baptisé le Prince’s Trust, c’est le début d’une longue série. En tout cas, grâce aux donateurs, la vie des jeunes britanniques à la recherche d’un emploi évolue.

Un an après la mort de la mère du prince William, une mission de la plus haute importance est confiée à Charles III. Devenir le parrain de la Macmillan Cancer Support. Comme son nom l’indique, peu importe l’organe affecté, elle épaule moralement les victimes et l’entourage des patients atteints de cette maladie.
À l’heure où nous écrivons ces lignes, Charles III ne se repose pas sur ses lauriers. Impliqué dans plus de 400 associations de cet acabit, le mari de Camilla est plus bienveillant que jamais.
Un amoureux de la nature
En 1970, Charles III tire la sonnette d’alarme. Affolé par l’état de la planète, il met en garde le monde entier. Si les ministres concernés ne prennent pas des mesures draconiennes, la situation risque fort de se dégrader. Avec le recul, force est de constater qu’il a eu de l’avance sur ses homologues européens.

Lors de la pandémie, à Davos, le roi Charles III devient le principal allié de la jeune Greta Thunberg. Franc, il fait une déclaration fracassante. Selon lui, les pays doivent arrêter de toucher « subventions perverses qui empêchent l’économie de devenir plus durable ».

Très vite, Charles III passe de la théorie à la pratique. Par exemple, ce féru de voitures vintage utilise un biocarburant maison pour circuler dans son Aston Martin. En exclusivité, voici la recette « des résidus de vin blanc anglais, mais aussi, du lactosérum issu du processus de fabrication du fromage. »
Le pouvoir des fleurs

Comme l’atteste cette photo, dès qu’il a un moment de répit, Charles III se rend dans son havre de paix dans le Gloucestershire. Sur place, il s’enivre du parfum des fleurs de son jardin biologique. On l’a compris, en plus d’être un précurseur, le fils d’Elisabeth II ne cache pas ses convictions.
Vive la culture
L’architecture

Dans le duché de Cornouailles, la ville de Poundbury intrigue fortement les touristes. Issue de l’imagination de Charles III, il y fait bâtir une « reproduction miniature du palais de Buckingham» De l’avis des riverains, l’ambiance est « très conviviale, très calme, tranquille, c’est super, il y a tout ce dont on a besoin ici »
La peinture

Après avoir disséqué les aquarelles et les paysages colorés, cette spécialiste ne tarit pas d’éloges au sujet du don de Charles III. « Son style très traditionnel. J’ai l’impression que peindre est son moment privilégié, qu’il chérit« Alors que d’autres utilisent l’encre des stylos pour apaiser leurs maux, le souverain préfère manier les pinceaux !
Le théâtre

Fan de Shakespeare, le roi Charles connaît certaines tirades par cœur. Preuve étant, lors du 400e anniversaire de l’écrivain, devant une foule conquise, il récite le mythique monologue To be or not to be.
L’opéra

Après 22 ans de bons et loyaux services, Sir Antonio Pappano tire sa révérence. C’est pourquoi, le jour de la dernière représentation, Charles III est aux premières loges. Dès la fin, le souverain rend le plus beau des hommages au directeur de l’opéra de Londres. De quoi émouvoir la salle !
Le chant

Membre de la chorale « The Bach Choir », Charles III regrette de ne plus être en capacité de donner de la voix. En exclusivité, le chef de cjœur en dévoile la triste raison. « Il a eu un problème avec sa pomme d’Adam lorsqu’il jouait au polo(et) il m’a dit lui-même qu’il ne pourrait plus chanter comme avant. »Qu’à cela ne tienne, conscients de ce passage remarqué, ses membres rivalisent d’ingéniosité pour lui faire honneur. Quand ils sont invités au château, ils lisent son émotion.
Charles III, un sportif aguerri
Dans les colonnes d’Hello Magazine, nos confrères soulignent que le roi s’astreint à un entrainement quotidien. Il fait « de l’exercice deux fois par jour », comme « des squats et des tractions à la barre ».
Le polo

Au début des années 70, Charles III est souvent sur son cheval. Non pas pour des balades en forêt, des compétitions ou des séances de chasse, mais bien pour pratiquer une partie de polo. D’ailleurs, la légende raconte que son coup de foudre pour la reine consort Camilla se fait sur un terrain de polo.
Le football européen

Cette discipline a toujours divisé Charles III et sa mère. En effet, fan de l’équipe de Burnley, il scrute chaque rencontre à la loupe. Même n’ont pas le niveau des joueurs d’Arsenal, le roi persiste et signe. « L’équipe Burnley a traversé des moments très difficiles et j’essaie de trouver des moyens d’aider à régénérer et à accroître les aspirations et l’estime de soi.»,
Le football américain

Lors d’une visite surprise au stade Tottenham Hotspur, le roi Charles III défraie la chronique. Comme le prouve la photo ci-dessus, il applique les conseils de la capitaine de l’équipe à la lettre. Cette passe de ballon va rester dans toutes les mémoires !
Le rugby

Juste avant la pandémie, Charles III fait un voyage express au Japon. Voulant à tout prix manifester son soutien à l’équipe de rugby, il nourrit l’espoir secret de ramener la coupe de Monde.
Le ski

Seul ou avec ses enfants, Charles III adorait fait du ski. Hélas, ces jours-ci, il dresse un constat sans appel. « Je pense que mes jours de ski sont derrière moi. » Pire encore, selon son fils Harry, le souverain souffrirait de « douleurs constantes au cou et au dos » dues à « de vieilles blessures de polo ». Qu’il se console, ses petits enfants vont bientôt prendre sa relève.