Cette pratique sexuelle dangereuse qu’Angelina Jolie aime pratiquer
Angelina Jolie n’a jamais caché ses fantasmes sexuels et son attirance pour les femmes. Dans plusieurs interviews, la célébrité a avoué ses petits jeux érotiques et ses pratiques sexuelles parfois dangereuses. Il n’y a pas à dire, l’ancienne Lara Croft n’hésite pas à repousser ses limites, et aller toujours plus loin dans l’érotisme et la découverte de sa sexualité.
Angelina Jolie : sex symbole et épanouie sexuellement !
Dans ses films, Angelina Jolie a toujours un côté sexy, de femme dominante et forte, prête à en découdre avec ceux qui lui barrent la route. Des rôles qui lui ont rapidement valu l’image d’un sex symbole et d’une icône glamour. Même si sa notoriété s’est calmée depuis quelques années, son nom résonne toujours comme un fantasme pour de nombreux hommes. Et sexuellement, la star ne s’est jamais cachée.
Lors de ses interviews, l’actrice n’hésite pas à avouer ses fantasmes, mais surtout ses pratiques sexuelles parfois dangereuses. « Je ne me sentais jamais assez. Je ne me sentais pas assez proche d’une autre personne, je ne me sentais pas assez vivante […] Et donc parce que j’avais des couteaux dans les parages… Au début de ma première relation sexuelle, j’ai sorti les couteaux et j’ai passé une nuit où nous nous sommes attaqués » expliqua-t-elle à ABC news en 2006.
Mr and Mrs Smith : une scène qui révèle les fantasmes de l’actrice ?
Dans Mr and Mrs Smith, les fans de Brad Pitt et Angelina Jolie ont pu découvrir un couple d’agents secrets qui s’aiment et se détestent. Une situation qui les pousse à s’entre-tuer. Mais dans une séquence, les deux personnages se lancent des couteaux à travers la maison.
Une scène qui n’est pas sans rappeler la pratique sexuelle adorée d’Angelina Jolie, bien que très dangereuse. Malgré tout, l’actrice ne cache pas ses fantasmes, et avoue même que sa bisexualité n’a jamais été taboue, même si son couple avec Brad Pitt a rangé ses désirs sexuels au placard. Depuis leur divorce, elle doit bien s’amuser Angie.
