Cette dernière volonté de Brigitte Bardot qui pourrait se heurter à un refus
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Autrefois sex-symbol, Brigitte Bardot s’illustre désormais pour son combat acharné en faveur de la cause animale. Lors d’une interview exclusive accordée à Paris Match, l’actrice des années 60 a révélé l’une de ses dernières volontés. Un dernier souhait qui pourrait bien ne pas être réalisé.
Brigitte Bardot : de sex-symbol à fervente défenderesse de la cause animale
Les années 1960 l’ont lancé sur le devant de la scène. C’est notamment dans le film Et Dieu… créa la femme que la jeune française se fait remarquer. Dès lors, elle devient le symbole de la liberté sexuelle et se voit qualifiée de femme indépendante qui assume sa sensualité et sa féminité. Elle dira plus tard que cette image n’est qu’un mirage. Et qu’au contraire, elle a toujours eu besoin du regard des hommes pour se sentir belle.
Aujourd’hui, c’est une tout autre femme que connaissent les générations actuelles. Elle n’est plus la blonde sulfureuse aux courbes constamment exposées sur les écrans. Elle est devenue une femme plus sage et surtout engagée dans les causes qui lui sont chères.
Parmi elles, la défense de la cause animale. Un cheval de bataille qui lui vaut de nombreuses interviews et interventions à l’occasion de tours de table dédiés au sujet. Pour cause, Brigitte Bardot en connaît un rayon sur ceux qu’elle s’emploie à chouchouter et à préserver depuis qu’elle a abandonné sa carrière au cinéma.
Cette dernière volonté insoupçonnée
Dans sa résidence de La Madrague, à Saint-Tropez, celle qui fêtera bientôt ses 90 ans s’est confiée sur des sujets plus intimes. Notamment celui de la fin de vie. Car, du haut de ses 89 ans, Brigitte Bardot ne se voile pas la face : la fin est proche. Une fin qu’elle accueille volontiers, du moment qu’elle n’arrive pas avec son lot de maladies et difficultés en tout genre.
D’ailleurs, l’ancien mannequin a quelques doléances pour l’après. On apprend ainsi qu’elle souhaiterait reposer à la Madrague après sa mort. Un vœu qui respectable, mais qui risque bien de se heurter au refus des autorités compétentes. Ce, en raison des règlementations légales.
Elle n’oublie pas non plus La Fondation Bardot. Que va-t-elle devenir une fois sa fondatrice décédée ? « Ma fondation, c’est mon bébé, elle est solide et je fais tout pour qu’elle me survive. Mais que va devenir le monde ? Les conjonctures actuelles sont très sombres et j’ai peur d’un chamboulement grave d’ici peu de temps. Alors, qui vivra verra », analyse-t-elle.
