« C’est de la merde ! » Michel Sardou se lâche sur la société au micro de Pascal Praud (vidéo)
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Michel Sardou, habituellement très direct, était présent au micro de Pascal Praud ce mercredi 26 janvier à l’occasion de son 75e anniversaire et il a souhaité faire une mise au point sur l’époque que nous vivons. Et le moins que l’on puisse dire… C’est que le chanteur a été très honnête ! Comme vous allez pouvoir l’entendre dans la vidéo que voici :
« C’est de la merde ! » Michel Sardou se lâche sur la société
Michel Sardou n’est pas seulement connu pour ses tubes qui ont su traverser les époques, il l’est également pour ses prises de position toujours très affirmées. Nulle question pour lui de ripoliner ou bien encore de ne pas assumer ses propos ! Quitte à ses débuts à s’attirer la foudre de certaines personnes qui désiraient qu’il contienne certains de ces propos ou positions un peu « border line ».
Comme il l’explique si bien lors d’un entretien accordé à la Nouvelle République, c’était la mode à l’époque. Il était d’ailleurs le seul à aborder des sujets et aussi à oser avoir des points de vue différents des autres chanteurs. Bien-entendu, il était très souvent attaqué. « Dès que vous sortez de la norme, vous vous faites attaquer, c’est sûr. » Mais depuis ce temps-là, les choses se sont bien calmées… Car il fait, comme il l’explique, partie des meubles.
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« Je suis de la génération qu’on regrette »
Ce mercredi 26 janvier, Michel Sardou fêtait ses 75 ans sur le plateau de RTL. Questionné par Pascal Praud, il n’a pas hésité à dévoiler tout ce qu’il pensait des changements sociétaux actuels : « Je suis de la génération qu’on regrette. »
Il estime que beaucoup de personnes regrettent sa génération comparée à la jeunesse d’aujourd’hui. Il se souvient qu’à l’époque, lorsqu’il passait dans les villes faire des concerts, c’était vraiment la fête. Les gens étaient beaucoup plus détendus et heureux. Le chanteur finit d’ailleurs par se laisser emporter… « C’est de la merde cette époque« . Pour lui, on ne peut plus rien faire, ni conduire vite, ni boire ou fumer. « Plus rien », finit-il par conclure avec regret.
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