Cauet (52 ans), gros rebondissement dans l’affaire : « Rien ne justifie que…
Déchu de son rôle d’animateur radio incontournable, Cauet est aux prises avec la justice. Accusé de vi*ls et d’agressions se*uelles, il est désormais sous le coup d’une information judiciaire et doit s’acquitter d’une caution de 100 000 euros. Contre toute attente, le quinquagénaire a demandé à revenir à l’antenne.
Cinq femmes accusent Cauet de v*ols et d’agressions se*uelles
Les témoignages ont fait le tour de la presse et des réseaux sociaux. Accusé de vi*ls et d’agressions se*uelles par cinq femmes, Cauet a été placé en garde à vue en mai dernier. Si les présumées victimes ne lésinent pas sur les détails, l’ex-animateur de NRJ nie fermement les faits qui lui sont reprochés. Il a même porté plainte à son tour pour dénonciations calomnieuses et tentative d’extorsion aggravée.
Sa volonté d’être innocenté n’a pas empêché la justice de trancher. Ainsi, après avoir été présenté devant le juge, Cauet a été mis en examen pour v*ols et agressions se*uelles. Ce, dans le cadre d’une information judiciaire ouverte par le parquet de Paris.
Placé sous contrôle judiciaire, il a notamment l’interdiction d’exercer le métier d’animateur. Il doit aussi s’acquitter d’une caution fixée à 100 000 euros.
L’ex-animateur de retour en radio ?
Malgré tout, Cauet est bien décidé à remonter en selle. Et, selon les déclarations de son avocate, il envisagerait de revenir à l’antenne dans très peu de temps. Ainsi, alors qu’il pourrait être entendu par une Cour d’assises et une Cour criminelle, le 10 juillet, l’ex-animateur radio a demandé l’allègement de son contrôle judiciaire.
Ses avocats soulignent qu’une somme importante lui a été demandée, alors même qu’il a interdiction d’exercer. « Cette caution exigée est déraisonnable au regard des faits et du patrimoine de mon client […]. Le droit d’exercer son métier lui est refusé, même en l’absence de public. Cette décision, aberrante et sans aucune justification, doit être levée de toute urgence. Rien ne justifie que l’on fasse taire un homme présumé innocent« , soutient son avocate, Jade Dousselin.
Suite à ces déclarations, BFMTV rappelle que la justice a conclu à une interdiction d’exercer pour la simple et bonne raison que la plupart des faits dénoncés se seraient produits en marge d’enregistrements d’émissions.