Calogero au plus mal, Jean-Jacques Goldman vole à son secours
La vie d’un artiste n’est pas toujours simple, et Calogero en a fait les frais. En 2009, le chanteur a connu une « période compliquée » lors de la sortie de son album L’Embellie.
Si Julien Doré étonne ses fans avec ce changement de look, Calogero est revenu sur cette période et sur le soutien infaillible de Jean-Jacques Goldman au micro de France Info.
Calogero au plus mal lors de la sortie de son album L’Embellie
La carrière de Calogero n’a pas toujours été pleine de lumière et de bonheur. Pour autant, le chanteur a pu compter sur le soutien de ses amis et sa famille dans ses différents projets artistiques.
Encore aujourd’hui, sa carrière est réputée et applaudie par les fans et les autres artistes, notamment son ami de longue date Jean-Jacques Goldman. Invité dans l’émission Le monde d’Elodie, Calogero est d’ailleurs revenu sur l’amitié que lui porte l’interprète de « Je te donne » .
En 2009, alors qu’il travaille sur son album L’Embellie, Calogero connaît une période difficile. « C’est un album où je sors d’une période un peu compliquée. Typiquement, je l’ai appelé L’Embellie, alors que ce n’était pas du tout l’embellie dans ma tête » explique l’artiste au micro de la journaliste. Même s’il est très attaché à cet album, le chanteur admet qu’il a été difficile à composer. Mais pour le mener à bien , Calogero a pu compter sur l’aide de son ami Jean-Jacques Goldman.
Comment Jean-Jacques Goldman l’a aidé
Une phase difficile qui se répercute dans la composition de l’album. Calogero perd patience, et ne parvient pas à transmettre les messages qu’il souhaite à travers ses chansons. Et une en particulier : « C’est dit » . Selon l’artiste, ce titre devait être « la locomotive de l’album » . Face aux difficultés, il fait appel à Jean-Jacques Goldman. Les deux chanteurs échangent par mails pour écrire ensemble la chanson. Une relation seine et pleine d’entraide entre Calogero et Jean-Jacques Goldman, à l’inverse de Benjamin Castaldi et Stéphane Bern. Et si l’interprète de « J’ai le droit aussi » voulait un thème sophistiqué pour « C’est dit » , son ami ne trouvait aucune accroche.
« Jean-Jacques Goldman me demandait : ‘Mais Calo, elle est où l’accroche ?’ , et je n’en savais rien. Alors il me répondait : ‘Eh bien je la cherche, et on va la trouver' » explique Calogero au micro de France Info. Après quelques échanges, l’accroche est finalement devenu : « On n’est riche que de ses amis, c’est dit » . Une phrase qui fait sens pour le bassiste de 53 ans. L’homme estime en effet que l’amitié est « la vraie richesse » .