Affaire Jean-Michel Trogneux : Nouveau rebondissement pour Brigitte Macron
Suivez nous sur Google News
Vous devez bien être déjà au courant, mais apparemment Brigitte Macron serait un homme, enfin, c’est ce que racontent des rumeurs jugées transphobes circulant sur les réseaux. Pour cause, ces rumeurs qui insinuent qu’elle est une femme transgenre sont totalement fausses. Il s’agit d’ailleurs, selon la femme du président, d’une diffamation et d’une atteinte à sa génétique.
De ce fait, Brigitte Macron a décidé de saisir les tribunaux afin de rétablir la vérité et de punir les personnes qui ont lancé cette rumeur. Deux femmes, accusées de transphobie dans cette affaire, comparaissent en justice ce 15 juin 2022.
Brigitte Macron visée par des rumeurs transphobes
Oui, ce n’est pas parce que Brigitte serait une femme trans qu’elle et Emmanuel Macron n’ont pas d’enfant. En fait, il s’agit tout simplement d’un phénomène naturel qu’on appelle plus communément « la ménopause » . Mais, nous sommes sûrs que vous connaissez.
Néanmoins, cet aspect de leur vie privée faisait partie des arguments de complotistes qui affirment que Brigitte Macron était en réalité un homme avant de devenir une femme. Des rumeurs profondément transphobes, dans la mesure où Brigitte Macron n’est pas une femme trans. Elle est une femme cis, et ça, elle l’a assuré plusieurs fois publiquement.
#JeanMichelTrogneux, utilisaient les autrices de ces rumeurs transphobes envers Brigitte Macron. Elles usaient de ce hashtag sur tous les réseaux, entrainant un large public avec elles. Ce tag faisait notamment référence à une des allégations les plus populaires sur le sujet. Celle selon laquelle Brigitte serait en réalité son frère, Jean-Michel. Il faut dire que nous n’avons pas beaucoup d’images de lui, sauf enfant. D’ailleurs, des éléments de sa vie semblent se confondre avec celle de Brigitte. Mais, en dehors de ces « preuves » , rien de tangible pour affirmer une telle chose.
Deux femmes entendues face à la justice ce mercredi
Face à ces rumeurs lancées sur les réseaux sociaux, la femme du président est intervenue et a décidé de traduire les autrices de ces diffamations en justice. Les deux femmes comparaissent ce 15 juin 2022 sur le volet civil de l’affaire au tribunal de Paris.
Les deux femmes, qui se définissent respectivement comme une « médium » et comme une « journaliste indépendante » autoproclamée, sont jugées pour des faits d’atteinte à la vie privée, atteinte au droit de la personnalité et violation du droit à l’image.
Nous devrions en savoir un peu plus sur l’issue de cette audience dans la journée.
