Brigitte Macron accusé d’être un homme : l’affaire devant la justice
Brigitte Macron fait l’objet de rumeurs affreuses depuis quelques mois maintenant. Deux femmes avaient publié en 2021 une vidéo sur YouTube pour dévoiler que la Première dame, née Trogneux, n’aurait jamais existé.
Selon elles, c’est son frère Jean-Michel qui aurait pris cette identité après avoir changé de sexe. Brigitte Macron avait décidé de porter plainte et l’affaire va être présentée devant la justice ce mercredi 19 juin 2024.
Brigitte Macron victime de rumeurs transphobes
En 2021, deux femmes ont propagé une rumeur transphobe sur YouTube concernant Brigitte Macron. Elles ont affirmé que la Première Dame, née Trogneux, n’avait jamais existé et que son frère, Jean-Michel Trogneux, avait pris son identité après une transition de genre.
Cette théorie, qualifiée de « complètement farfelue » par Brigitte Macron, suggérait également un vaste complot pour masquer ce changement d’état civil.
L’entretien de quatre heures diffusé sur YouTube incluait des photos de Brigitte Macron et de sa famille, ainsi que des interventions chirurgicales qu’elle aurait subies, mais aussi des informations personnelles sur son frère.
Des rumeurs qui n’ont cessé de prendre de l’ampleur au fil des années et qui ont fini par émouvoir la famille de Brigitte Macron, lassée que cette histoire revienne sans cesse sur le tapis.
L’affaire devant la justice
Brigitte Macron avait décidé de porter plainte dans le but de stopper ces affreuses rumeurs. Et ce mercredi 19 juin 2024, l’affaire va être présentée devant la justice. Les deux femmes seront jugées pour diffamation devant le tribunal correctionnel de Paris.
Brigitte Macron, représentée par son avocat Jean Ennochi, ne sera pas présente à l’audience. Le procès fait suite à une plainte pour diffamation publique avec constitution de partie civile déposée par la Première Dame le 31 janvier 2022.
Une autre action en justice pour atteinte à la vie privée et violation du droit à l’image avait été annulée en 2023, la justice ayant jugé que les faits relevaient de la diffamation.