Brigitte Macron : Son échec cuisant face à un gilet jaune au tribunal !
Mercredi 30 septembre, Brigitte Macron a été déboutée par la justice. Elle avait porté plainte contre un « gilet jaune » pour l’inscription d’un graffiti qu’elle considérait comme injurieux à son encontre.
« Liberté d’expression »
La Première dame ne s’attendait pas à ce revers judiciaire. En effet, Brigitte Macron avait décidé de porter plainte contre un « gilet jaune » pour l’inscription d’un « graffitis s’en prenant » à elle sur un homard gonflable. Toutefois, Brigitte Macron a été défaite devant le tribunal correctionnel de Toulon (Var), ce mercredi 30 septembre. Les faits se sont déroulés le 11 août dernier.
Originaire de Savoie, le « gilet jaune » en question avait inscrit des graffitis sur un homard géant gonflable. Il a réalisé ces graffitis non loin du fort de Brégançon, à Bornes-les-Mimosas, où le couple présidentiel passait ses vacances. De plus, il avait filmé son geste avant de publier la vidéo sur son compte Facebook. Lors de son interpellation par les gendarmes, il avait invoqué la « liberté d’expression » afin de justifier son acte. Néanmoins, Brigitte Macron avait décidé de porter plainte.
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Brigitte Macron, déboutée par la justice
Pour sa défense, Stéphane Espic, le « gilet jaune » âgé de 49 ans, avait fait appel à Juan Branco, défenseur du mouvement des « gilets jaunes ». Il est également conseiller de Piotr Pavlenski, l’artiste militant russe accusé d’avoir diffusé les vidéos intimes de Benjamin Griveaux, ancien candidat aux municipales de Paris. Le « gilet jaune » a été jugé pour « injure publique envers le président de la République« et « injure publique et diffamation envers particulier(s) » . Le tribunal correctionnel de Toulon a finalement annulé la procédure.
Sur Twitter, Juan Branco a tweeté : « Aujourd’hui, Brigitte et Emmanuel Macron ont été défaits devant un tribunal. L’AFP était présente. Vous n’en entendrez parler nulle part. Aucune raison de s’étonner ».
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