Aya Nakamura dans la tourmente ! Elle est assignée en justice pour avoir copié un célèbre artiste…
Kyo Jino, qui n’est autre que le styliste officiel de Bilal Hassani et Shay, vient de lancer une nouvelle procédure à l’encontre d’Aya Nakamura. Après une première mise en demeure, l’artiste attaque en justice la chanteuse pour avoir copié ses tenues pour son clip « Pookie ».
>>> A lire aussi : Camille Combal et Aya Nakamura : la grande annonce qui étonne tout le monde !
Aya Nakamura : une assignation caduque ?
C’est donc le 18 juin 2019 qu’Aya Nakamura a reçu l’assignation par son tourneur Totem Production. C’est en effet au siège de la production, à Clamart, dans les Hauts-de-Seine que le papier officiel a été envoyé, comme l’a précisé Me Jean-Marc Descoubès à l’AFP. La chanteuse n’a pas été directement « touchée » car, le document n’a pas été envoyé à son domicile. C’est ce qu’a du moins expliquer son avocate Cerasela Vlad : « Nous ne sommes donc au courant d’aucune mise en cause ».
https://twitter.com/kyo_jino/status/1116053213638217733
>>> A lire aussi : Aya Nakamura : elle débarque dans The Voice !
Le styliste qui assigne Aya Nakamuré réellement indigné
Dans son assignation, le styliste Kyo Jino explique qu’il a créé un moodboard en décembre dernier pour Aya Nakamura. La chanteuse aurait posé par la suite avec les fameuses tenues pour des shootings photos. Et c’est lors de la sortie de son clip « Pookie » que le styliste a fait le rapprochement entre ses vêtements et ceux portés par la jeune femme.
Il s’est alors rendu compte que « que certaines des idées vestimentaires figurant dans son moodboard », « ainsi que celles créées pour la séance de shooting (…) avaient été purement et simplement reprises par la chanteuse ». Or, il n’a jamais été averti ou consulté pour cela. Se disant « Décontenancé par l’attitude inconvenante de l’artiste » le styliste a partagé son indignation sur les réseaux sociaux.
La chanteuse de Djadja a déjà été mise en demeure afin qu’elle lui verse 50 000 euros pour le « préjudice subi du fait de la spoliation de son travail ». Or, le producteur avait « opposé une fin de non-recevoir, estimant la demande infondée ».