Audrey Fleurot fait une révélation choc concernant un de ses problèmes quotidiens
Audrey Fleurot, l’actrice d’HPI, à fait une révélation en interview par rapport à son enfance. Ce petit détail aurait pu ruiner sa carrière d’après elle.
Audrey Fleurot, complexée pendant son enfance
Audrey Fleurot est une des actrices françaises les plus appréciées. Elle commence sa carrière avec le théâtre et les séries comme Kaamelott et Un village français.
Elle rencontre aussi le succès avec des films comme Intouchable ou Mais qui a re-tué Pamela Rose ? Récemment, elle s’est illustrée dans la série HPI sur TF1 qui a rencontré un grand succès et qui a battu des records d’audience.
Cependant, et si tout ce parcours n’avait pas existé ? C’est ce qui aurait pu arriver sans une importante décision de l’actrice quand elle était jeune. Dans une interview, elle parle de sa myopie et de comment ce problème a construit son caractère pendant son enfance. « je portais des lunettes avec des verres épais comme des culs de bouteille. » « Je faisais trente kilos de plus et je me lançais dans des recherches capillaires improbables », expliquait-elle.
Néanmoins, Audrey Fleurot ne s’est pas laissé faire. Alors qu’elle avait 16 ans, elle a décidé de changer quelque chose dans sa vie. Elle a jeté ses paires de lunettes pour choisir de porter des lentilles de contact. Plus pratique pour beaucoup de choses.
« Je refuse de me faire opérer »
Grâce à cette décision, Audrey Fleurot lui a permis de faire son métier et d’avoir le succès qu’elle a connu. « Ça m’a donné la possibilité de faire ce métier. Je suis très myope, donc le premier geste que je fais le matin, c’est chercher mes lunettes. Je pense que ça m’aurait considérablement limitée au niveau des rôles« . En plus de cela, elle confie aussi que les lentilles sont plus commodes pour elle que d’avoir une bonne vue. « Je refuse de me faire opérer ». Pourquoi ?
Dans certaines scènes, elle doit enlever ses lentilles. Pour des raisons pratiques ou par soucis d’éclairage. Cependant, ce n’est pas un problème pour elle, au contraire, elle en a fait un atout. Quand elle doit tourner une scène difficile ou intime, c’est ce qu’elle fait.
« De temps en temps, je les enlève parce que ça me met dans un flou qui est très confortable pour le cinéma. C’est très pratique. Quand vous avez toute une équipe technique et que vous devez essayer de vous mettre dans une bulle, ça me permet un peu d’oublier les gens ».