Kev Adams, c’est fini : l’annonce choc
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Il est temps pour lui de prendre une pause dans sa carrière d’humoriste. Mais, Kev Adams l’assure, il s’agit de partir pour mieux revenir. Invité ce 13 novembre dans ‘Culture médias’, sur Europe 1, l’humoriste a expliqué plus en détail son désir de tourner un temps le dos à l’humour pour se concentrer sur le cinéma.
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La pause bien méritée de Kev Adams
Deux spectacles en un an auront eu pour effet de le combler. Mais aussi de pousser Kev Adams à mettre sa carrière en perspective. Ainsi, après Le vrai moi et Miroir, il a décidé qu’il était temps de s’essayer à autre chose.
Bien que familier du cinéma, l’humoriste s’est fixé pour objectif d’y consacrer plus de temps. Toutefois, que ses fans se rassurent, il n’est pas question de tirer un trait sur son premier amour. Au micro d’Europe 1, il explique : « Je pense que c’est bien pour mieux revenir, trouver de l’inspiration et avoir de nouvelles choses à raconter » .
Interrogé sur son exploit de réaliser deux spectacles en un an, il ajoute : « C’est un bon challenge, je suis super content d’avoir relevé ce défi, mais maintenant, j’ai envie de lever le pied » . Une envie qui ne l’empêche pas garder un œil sur le monde de l’humour, notamment en se rendant au Fridge, son comedy club. « Je vais très régulièrement au Fridge […] pour tester des vannes. Dès que j’ai des petites idées, j’y vais et je teste » .
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L’humoriste à l’affiche d’un nouveau film
À l’affiche du film Comme par magie, qui sort en salles le 15 novembre, Kev Adams montre déjà sa volonté de s’épanouir sur le grand écran. Dans le long métrage réalisé par Christophe Barratier, il incarne un jeune magicien en pleine ascension, qui se retrouve du jour au lendemain seul à élever sa fille.
Très satisfait du travail de l’acteur, Christophe Barratier n’est pas avare en compliments. Il souligne notamment la capacité du jeune humoriste à s’adapter. « On pourrait croire avec Kev qu’on va le laisser improviser, mais il est très respectueux. Ça lui fait du bien, j’ai l’impression, de rentrer, poser les pieds et se laisser porter sans avoir à tout le temps décider » .
Kev Adams ajoute : « Je pense que le problème des humoristes, c’est que souvent, ils veulent faire les humoristes au cinéma, alors que le cinéma c’est vraiment autre chose. Tu dois te plier à l’univers du metteur en scène. Dès que tu commences à improviser, ça met en galère les autres acteurs donc j’essaie de considérer les deux taffes comme des taffes très différents et ça aide » .
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