« Alcool et médicaments » : Enora Malagré sans filtre sur ses addictions
Ce mercredi 11 décembre 2024, Enora Malagré était invitée sur le plateau du Buzz TV du Figaro. L’ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste est revenue sur la période durant laquelle elle travaillait pour Cyril Hanouna et sur les excès qui ont suivi.
Enora Malagré, ancien visage de Touche pas à mon poste
Énora Malagré a laissé une empreinte mémorable durant ses années dans Touche pas à mon poste. Entre son franc-parler et son énergie débordante, elle ne laissait personne indifférent.
Elle abordait des sujets parfois délicats et n’hésitait pas à partager des avis tranchés, même si cela déclenchait des polémiques. « Certaines émissions me stressaient énormément », confie-t-elle. « Je découvrais ma maladie, et je ne savais plus trop comment m’anesthésier » a-t-elle confié sur le plateau du Buzz TV ce mercredi 11 décembre 2024.
Si cette période a boosté sa carrière, elle admet que l’ambiance survoltée du plateau et la pression constante n’ont pas toujours été simples à gérer. Malgré tout, cette expérience lui a permis de se faire un nom et d’enchaîner de nouveaux projets, tout en prenant un peu de recul sur son quotidien.
Ses confidences sur son addiction à l’alcool
Dans son documentaire « Demain j’arrête !« , diffusé sur Canal+ Docs, Énora Malagré se livre sans filtre sur ses luttes personnelles, notamment ses addictions au sucre, à l’alcool et aux médicaments. « J’étais accro au sucre, j’en prenais tous les jours : un paquet de bonbons entier, un cookie, un dessert… » explique-t-elle, en précisant que cette habitude n’arrangeait pas son endométriose.
Cette dépendance a même influencé son compagnon, Hugo Vitrani : « Quand je l’ai rencontré, il ne mangeait pas de sucre, mais avec moi, il s’y est mis… Le pauvre, il est tombé dedans à cause de moi », plaisante-t-elle.
Concernant l’alcool et les médicaments, Énora Malagré admet avoir connu une période compliquée : « Les médicaments ne faisaient plus effet, et je mélangeais avec de l’alcool ». C’est grâce à ses proches qu’elle a pu remonter la pente : « Ils m’ont dit : “Ma cocotte, tu bois beaucoup trop ». Ça m’a permis de prendre conscience à temps, et je leur en suis reconnaissante. ».