« C’est fini » : des échanges très inquiétants entre les enfants d’Alain Delon
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La guerre fait rage au sein du clan Delon. Depuis plusieurs mois, la presse rapporte des échanges musclés entre frères et sœur. Pourtant, les choses n’ont pas toujours été si compliquées entre les membres de la fratrie, si l’on en croit les messages récemment dévoilés par BFMTV.
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Le clan Delon dans la tourmente
Rien ne va plus entre les enfants d‘Alain Delon. Eux qui semblaient pourtant si unis face à Hiromi Rollin, la prétendue compagne de leur père. Seulement, au fil des mois, leur belle relation s’est dégradée. La faute à des divergences de points de vue, notamment concernant l’arrêt ou non du traitement de l’acteur.
Autre point de discorde : le départ d’Alain Delon en Suisse. Si sa fille Anouchka souhaite le voir venir au plus vite, ses frères Anthony et Alain-Fabien ne sont pas de cet avis. Un désaccord qui, là encore, a donné lieu à une « guéguerre » désormais publique. Aujourd’hui, Anthony Delon a déposé une main courante contre sa sœur, ce qui a conduit cette dernière à rétorquer au moyen d’une plainte pour diffamation. Alain-Fabien, le petit dernier, s’est rangé aux côtés de son grand frère.
Seulement, d’après un échange dévoilé par BFMTV, frères et sœur s’entendaient encore pour le mieux en juillet dernier. Et s’ils n’étaient pas d’accord concernant les décisions à prendre, on sentait à travers les mots qu’ils échangeaient, un désir de faire en sorte que les choses se passent au mieux.
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« Je vous embrasse »
« Je pense, à ce jour, qu’il en a marre de se battre. Si ça ne change pas rapidement, c’est fini, et s’il décide de lâcher, rien ni personne n’y pourra rien. On se parle plus tard. Je vous embrasse » , écrivait alors Anthony Delon dans un message adressé à son frère et sa sœur.
Dans un message envoyé peu de temps après, il a ajouté : « S’il plonge, il ne sera pas transportable, et l’acharnement thérapeutique inutile. Il faudra donc l’entourer tous à Douchy, avec le max de confort et d’amour pour l’accompagner » .
Et sa sœur, Anouchka, lui a répondu : « On a beau avoir chacun notre avis, on n’est pas spécialistes. Alors arrêter pourquoi pas, mais pas maintenant. Je veux garder papa encore quelque temps dans les meilleures conditions, comme nous tous. Je ne pense pas qu’arrêter le traitement soit raisonnable » .
Plus tard, elle s’est montré plus insistante : « On n’arrête pas comme ça, contre avis médical. J’apprécierais qu’on m’écoute là-dessus. C’est pas un Doliprane qu’on arrête comme ça. Il faut être conscients que si on continue ou arrête le traitement, s’il lui arrive quelque chose, ce sera de notre faute. Je vous embrasse » .
Depuis, les échanges sont nettement plus enflammés et une ambiance de mort règne entre Anouchka et ses frères.
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