Adriana Karembeu victime de violences durant l’enfance : ses douloureuses confidences
À l’occasion de la sortie de son autobiographie « Libre », Adriana Karembeu confie les sombres secrets vécus dans sa jeunesse.
Adriana Karembeu : son QI dévoilé ! Adriana Karembeu : son QI dévoilé !
Une vie en enfer
« Un véritable enfer ». Ce sont ces mots que la célèbre mannequin Adriana Karembeu utilise pour décrire son enfance. Dictée par les violences qu’elle a subies de la part de son père, sa jeunesse a été rude. Elle décrit son père comme un homme brutal, un « psychopathe » qui lui infligeait des sévices physiques et psychologiques.
Loin d’avoir eu une carrière simple, elle raconte avoir été traitée comme un « bouc émissaire » dans sa jeunesse. Soumise aux humeurs destructrices de son père, elle dit ressentir à nouveau les coups dans sa chair lors de l’écriture de son livre. Des blessures d’enfance ont refait surface lorsque Adriana est devenue mère, lui faisant prendre conscience de l’horreur des actes infligés par son père.
Karembeu, une famille déchirée
Selon Adriana, les premiers signes de son calvaire remontent à son enfance en Slovaquie communiste. Elle décrit une période marquée par la peur constante d’une guerre et le traumatisme de quitter sa grand-mère, sa figure de sécurité, pour vivre avec ses parents. Les violences intra-familiales ont débuté après la naissance de sa sœur, Natalia, alors qu’Adriana avait seulement 6 ans. Elle se souvient des coups répétés de son père, utilisant sa ceinture en cuir comme châtiment pour les moindres erreurs.
Mais sa mère, dans tout ça ? L’actrice avoue avoir ressenti le manque d’attention de cette dernière, absorbée par ses études de médecine et les responsabilités domestiques. Pensant qu’il fallait être dure pour bien éduquer ses enfants, la mère d’Adriana était souvent absente face aux abus perpétrés par son mari.
Mais après les cauchemars, il fallait revivre. À travers ce livre, Adriana Karembeu explique avoir voulu transmettre son histoire avec une sincérité brutale, désireuse d’offrir à sa fille, Nina, une trace de son parcours. Elle y partage également la tentative de vi*l dont elle a été victime. Mais l’ancienne star de la télévision refuse de ménager ses mots envers son père, affirmant que son récit est le sien et que son père doit en assumer les conséquences.