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Adriana Karembeu battue : ses révélations glaçantes !

Publié par Claire JONNIER le 12 Fév 2020 à 15:03
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Aujourd’hui, Adriana Karembeu fait partie des plus belles femmes du monde ! Maman de la petite Nina, c’est une femme comblée d’un point de vue personnelle et professionnel. Toutefois, elle souffre encore de blessures anciennes et de son enfance douloureuse. D’ailleurs, elle se confie à ce sujet dans les colonnes de Télé Loisirs.

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Adriana Karembeu : une enfance douloureuse

La vidéo du jour

Souriante, terriblement belle et d’un naturel avenant, Adriana Karembeu a tout pour plaire. Et pourtant… Pendant des années, elle a souffert d’une enfance douloureuse et de sa relation conflictuelle avec son père. D’ailleurs, ce n’est qu’aujourd’hui qu’elle consent à en parler dans les colonnes de Télé Loisirs.

« Quand j’étais enfant, je me suis senti non seulement pas désirée, mais détestée. Peut-être que ça joué dans mon inconscient, ça a peut-être une influence. » Encore aujourd’hui, elle souffre de cette période de sa vie et peine à tourner la page.« Parfois, la blessure est encore plus profonde. Quand on a un enfant, je me mets dans la position de mon père. Je me dis alors : « Mais comment a-t-il pu ? ». C’est encore plus incompréhensible. C’est encore plus douloureux. La meilleure solution, c’est de ne pas trop y penser, de marcher en avant et de se dire : « C’est du passé ». C’est comme une cicatrice. Parfois, elle peut saigner. J’ai 48 ans, mais ça fait encore mal… »

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Un témoignage touchant

Aujourd’hui maman de la petite Nina, Adriana Karembeu est prête à accepter de laisser sa fille avec son père. « Parfois, j’ai la haine. Mais s’il a envie de la voir, je ne vais pas lui interdire. Sauf qu’il n’a pas envie ! Sinon, il serait déjà là. » En revanche, il y a certains souvenirs qui lui laissent des marques indélébiles comme elle l’explique dans l’émission de Michel Cymes, Ça ne sortira pas d’ici. « Il rentrait à 15h45 parce que je savais que ma vie s’arrêtait à cette heure-ci. Je m’asseyais à mon bureau et je faisais semblant de faire mes études jusqu’à l’heure du coucher. »

À 20 ans, elle se souvient parfaitement que son père lui avoue franchement ne pas l’aimer. Elle conclura simplement : « Mon père est un pervers narcissique, il a sa vie et je n’ai pas envie de le noircir du matin au soir. »

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