Une star d’Instagram craque et révèle les dessous de sa pseudo vie de rêve et dénonce la superficialité des réseaux sociaux
L’herbe n’est pas toujours plus verte de l’autre côté de l’écran…
Que préférez vous ? Afficher une vie parfaite aux yeux de milliers d’inconnus ou vivre VRAIMENT la vie dont vous rêvez ? Pour vivre heureux, ne dit-on pas qu’il faut vivre caché ? À 18 ans, Essena O’Neill était suivie par plus de 700 000 personnes. Cette belle Australienne affichait une vie de rêve sur ses photos : décors paradisiaques, corps de rêve, garde robe de rêve, mode de vie de rêve, sain, teint de pêche… Sauf que la jolie jeune femme a littéralement pété un plomb et nous a révélé que tout cela n’est qu’un gros FAKE ! En larmes dans une vidéo postée sur Youtube qui fera office d’adieux aux médias sociaux, la jeune femme explique à quel point tout cela n’était que de la poudre aux yeux… Son addiction aux réseaux sociaux l’a plongée dans une dépression dont elle a du mal à se tirer. Aujourd’hui elle tire un trait sur sa vie d’avant et se retire des réseaux sociaux.
« C’est pour mon moi de 12 ans. Il y a tellement de choes que je veux dire. (…) J’ai une vision des réseaux sociaux que peu de gens connaissent. (…) Il faut savoir à quel point tout est faux. (…) Ce que je dis m’effraie. Je ne sais pas où je vais, je ne sais pas ce qui va m’arriver, ni comment je vais gagner de l’argent. (…) J’avais une vie rêvée, j’ai des millions d’abonnés, et pour de nombreuses personnes, j’ai réussi. J’ai signé avec l‘une des plus grandes agences en Australie, l’une des plus grandes agences américaines veut aussi signer avec moi. (…) Tout ce que je publie est édité, tout ce que je fais, c’est pour avoir le plus de vues possibles, je voulais que les gens m’écoutent. Tout ce que j’ai fait, c’était pour des likes, j’ai passé des heures à poser juste pour poster des photos sur Instagram. (…) C’est un business, et si vous ne pensez pas que c’en est un, vous vous trompez. Les entreprises vous envoient ce que vous devez dire, comment vous devez tenir le produit. Les marques connaissent le pouvoir des médias sociaux et l’exploitent. (…) Je me disais que j’aurais plus de valeur si j’avais des vues sur YouTube. (…) Je ressentirais de la joie, du bonheur, de la valeur. «