JO 2024 : Regardez la réaction d’Emmanuel Macron pendant la chanson d’Aya Nakamura
Suivez nous sur Google News
Aya Nakamura a fait une performance lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024. Durant sa chanson, le président Emmanuel Macron a commenté la musique sur les réseaux.
Aya Nakamura ose un medley avec Charles Aznavour pour les JO 2024
Ce n’était pas totalement sûr avant ce vendredi 26 juillet 2024, mais tout le monde s’accordait à dire qu’Aya Nakamura allait chanter à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris.
Finalement, entre deux bateaux d’athlètes, l’artiste est entrée sur le tapis doré, accompagnée de danseurs et de la Garde Républicaine. Pour cette occasion, elle a interprété une chanson « mashup« .
Il s’agissait en fait d’un medley dansant qui mêlait donc plusieurs de ses titres comme « Pookie » ou « Djadja » avec « For me formidable » de Charles Aznavour.
La performance a eu lieu sur le pont des Arts, vraisemblablement en play back. En effet, comme l’ont déclaré de nombreux internautes, lors de la chanson de Lady Gaga, cette dernière était essoufflée à certains moments, mais pas Aya Nakamura.
Emmanuel Macron réagit en direct à sa performance
S’il y avait d’autres artistes pour chanter à cette cérémonie d’ouverture, Aya Nakamura a eu la chance d’avoir une réaction en live du président.
La chanteuse qui aurait reçu une belle somme d’argent pour ce show serait assez proche de Brigitte Macron. Ainsi, Emmanuel Macron a commenté la scène sur les réseaux.
« En même temps », a-t-il écrit avec une vidéo d’Aya Namakura sur le pont des Arts. Un message sur X (anciennement Twitter) qui a rameuté de nombreux détracteurs.
Une présence aux Jeux Olympiques de Paris très critiquée
Effectivement, que ce soit avant ou pendant sa performance, de nombreux internautes ont réagi avec virulence à la présence d’Aya Nakamura.
Certains ont notamment pointé du doigt le play back, mais aussi certains ont jugé ce feat avec la Garde Républicaine comme dégradante. « Un saccage pour la culture française« , a par exemple dénoncé le porte-parole du Rassemblement national Julien Odoul.
