Et si vous étiez atteint du syndrome du « cul mort » ?
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le coronavirus nous aura réservé… et nous réserve encore de drôles de surprises ! Avec le développement du télétravail depuis maintenant presque une année entière, de nouvelles formes de problèmes de santé sont apparus. Aujourd’hui, nous allons vous parler du syndrome du « cul mort ». Pour les explications, c’est par ici.
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Le syndrome du « cul mort » causé par le trop-plein de télétravail
Depuis le premier confinement de 2020, le télétravail n’a cessé d’être encouragé en France. Les résultats sont sans appel : les Français sont restés assis en moyenne 6h30 par jour en 2020, selon Santé Publique France. Et le problème, c’est que notre cher fessier n’a pas forcément trop apprécié… Fesses endormies, sensations de fourmillements ou encore engourdissements, tels sont les différents symptômes du syndrome du « cul mort ».
Mais alors, ça veut dire quoi avoir le « cul mort » ? Tout simplement, comme les muscles des fessiers n’ont plus l’habitude de bouger ou de travailler, alors ils se ramollissent, deviennent moins réactifs, jusqu’à devenir inertes et douloureux. Sans activités, ce syndrome peut aller jusqu’à se propager notamment dans le dos, mais aussi dans le corps entier. Il est donc très important de rester actif, et de continuer à faire travailler son arrière-train.
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On se lève, et on marche !
Pour ne pas croiser le chemin du syndrome du « cul mort », une seule solution : bouger ! En effet, seule l’activité physique permettra à vos muscles de ne pas s’endormir ou s’engourdir. Marchez, courez, et ne négligez pas de vous étirer. Faire de grosses séances d’étirements de vos muscles durant vos pauses quotidiennes vont leur permettre de continuer à être sollicité et à ne pas devenir trop raide.
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