À cause de son voisin, cette retraitée de 72 ans est obligée de rentrer chez elle avec une brouette
Un voisin qui ne lâche rien
Avoir des voisins insupportables, c’est un truc que je connais. Heureusement que certains en rattrapent d’autres. Mais quand un voisin a décidé de faire chier (ni plus ni moins), les choses peuvent devenir ingérables. Certains méritent qu’on leur crépisse la maison à la bouse de vache, et je mâche mes mots. Non, je ne passerai pas à l’acte. Quoi qu’il en soit, cette brave petite dame de Mouthiers-sur-Boëme a probablement eu la même idée. La pauvre vit dans ce petit village de 2000 âmes depuis plusieurs années et tout se passait bien jusqu’alors. Malheureusement, Anne-Marie Bouvet Gauthier, 72 ans, fait face à un problème de taille depuis 2016.
Obligée de prendre une brouette
Et pour cause, un énorme grillage bloque l’accès au chemin qui mène à sa maison. La retraitée n’a donc d’autre choix que de se servir d’une brouette pour rentrer chez elle. En effet, l’accès en voiture est impossible. Alors quand vous avez des sacs de courses à ramener (ou autre), vous n’avez pas envie de faire le trajet plus d’une fois ! Tout cela à cause de son voisin, nouveau propriétaire d’un château se trouvant juste à côté de chez elle. L’acte de propriété ne précise pas qu’il y ait un droit de passage d’après lui. « C’est dangereux, les arbres peuvent tomber, je ne veux pas être responsable d’un accident. Pour moi, elle n’a pas le droit de passer » a déclaré le voisin en question.
Elle recourt à la justice
La retraitée maintient quant à elle qu’elle a le droit de passer par ce chemin. Dans ce genre de situation délicate entre voisins, la justice est parfois le seul recours. Il n’est pas normal en tout cas qu’elle doive faire 500 mètres en tractant une brouette pour se rendre dans sa maison. L’histoire de cette dame fait de plus en plus parler d’elle, même dans le 13h de TF1. Elle a donc fait appel à la justice pour régler ce problème et en saura plus d’ici trois mois. Une histoire à dormir debout ! Qu’est-ce qu’ils peuvent être pénibles parfois ces andouilles de voisins. Mais bon, on est tous le con de quelqu’un comme dirait Pierre Perret.