Une vendeuse avait des relations sexuelles sur les matelas d’exposition, elle se fait virer
L’envie de faire l’amour peut-elle se contrôler ? Si certaines personnes y arrivent, d’autres placent la sexualité au centre de leurs priorités, et certains signes peuvent montrer que vous êtes en manque. À Boulogne-sur-Mer, une vendeuse de matelas a été licenciée après avoir eu des relations sexuelles sur la marchandise en exposition. Mais quelques années plus tard, un retournement de situation change la donne.
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Licenciée pour avoir eu des relations sexuelles sur les matelas
Testés et approuvés ! À Boulogne-sur-Mer, une vendeuse a été licenciée pour avoir eu des relations sexuelles sur les matelas en exposition. Dans ce magasin du « Roi du matelas » , tout semblait bien fonctionner. Mais en 2017, le responsable du magasin reçoit un mail pour le moins compromettant. S’il est important de retourner son matelas pour mieux dormir, il est également prudent de ne pas toujours se coucher sur les matelas en exposition.
Dans le mail, un individu indique qu’il a pu tester les matelas avec une employée de l’enseigne en couchant avec. Et pour prouver ses dires, l’homme joint même des photos. Le responsable prend donc la décision qui s’impose et licencie l’employée concernée. L’affaire est traînée devant les prud’hommes de Tourcoing. Mais rien ne se passe comme prévu pour « Le Roi du matelas ».
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L’individu en question est un ancien employé… Licencié pour faute grave !
Deux ans après les faits, et devant le conseil des prud’hommes de Tourcoing, la principale intéressée nie tout en bloc. Elle accuse également l’enseigne de se baser sur les dires d’un homme qui n’est pas inconnu. En effet, l’auteur du mail serait un ancien employé licencié pour faute grave quelques années avant. Si les prud’hommes donnent raison à la société, l’employée fait appel.
Une situation qui n’a pas manqué de calmer la libido de la femme. Mais en 2021, la cour d’appel de Douai donne finalement raison à la femme licenciée. L’instance demande à l’entreprise un versement de 30 000 euros indemnités en faveur de la femme. Mais l’affaire n’est pas encore close. Les juges ont finalement décidé de se pencher une nouvelle fois sur ce cas et de prendre une ultime décision.
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