La lettre sincère d’une maman sur « l’après accouchement » bouleverse la toile…
Sur son compte Facebook, une mère à posté une lettre qui s’adresse à toutes les mamans du monde.
Constance Hall est une mère australienne de 4 enfants. Elle a publié sur son compte Facebook, une lettre d’une incroyable franchise, suivie d’une photo d’elle et de ses enfants.
Effectivement, elle s’adresse à toutes les femmes qui souffrent d’un baby-blues après leur accouchement. La blogueuse tire ses louanges à ses mamans en difficulté. Dans son écrit, l’Australienne décrit les attitudes journalières de ces mères de manière à les déculpabiliser.
De nombreuses mamans se sont reconnues dans la lettre de Constance Hall. Elle a, d’ailleurs, convié ces mères à assumer leur propre corps en se photographiant.
La trentenaire n’en est pas à son premier coup d’essai, en effet elle a déjà abordé différents thèmes tabous comme la sexualité ou les règles.
Voici un extrait de sa lettre publiée sur son compte Facebook.
« À la femme du parc, qui regarde son téléphone et ignore ses enfants, je te salue. Car tu te fous de ceux qui pensent que tu devrais être sous tension, 24 heures sur 24. Car tu n’en as rien à faire de ce que le groupe des mères-gendarmes pense.
À la femme avec des piles de vaisselle et de linge sales qui sort quand même prendre un café avec des amis, je te salue. Être une bonne mère ou une bonne épouse ou un bon être humain ne signifie pas que l’on doit passer l’éternité à faire le ménage chez soi.
À la femme qui attend patiemment des antidépresseurs, je te salue. Ne confonds pas dépression et abandon. Tu es une reine de l’action pour moi. La force c’est de demander de l’aide. Tu es si forte. Beaucoup de femmes passent par la même période, elles n’en parlent juste pas.
À la femme qui n’a pas perdu tout son poids de grossesse, je te salue. Un nouveau travail qui te prendra 24 heures, qui ne sera pas payé et se terminera dans 20 ans ne mérite pas d’abandonner le gâteau. Mange le gâteau, mange le p***** de gâteau et envoie balader quiconque ose dire quelque chose. Après l’accouchement, ton corps n’est pas devenu brusquement ouvert aux commentaires publics. »
