« Tromper mon mari est une addiction » : Cette femme a au moins une liaison par semaine
Depuis cinq ans, Anastasia est mariée à un homme qu’elle aime. Mais depuis quelques années, elle a développé une addiction improbable : la tromperie. Découvrez…
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Une histoire de tromperie improbable
Âgée de 41 ans, Anastasia partage sa vie avec son mari depuis cinq ans. Mais depuis deux ans, la quinquagénaire mène une vie cachée, car elle a développé une addiction totalement improbable : celle de tromper son mari. Pourtant, elle affirme être folle amoureuse de son mari, mais elle a besoin de séduire d’autres hommes. Récemment, elle a raconté son histoire improbable pour faire comprendre aux gens que l’amour peut être bel et bien présent, malgré les tromperies.
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Son témoignage
Anastasia a commencé son témoignage en racontant comment elle a rencontré son mari : « Avec mon mari, on a tous les deux eu des longues relations avant de se rencontrer. C’est un ami qui nous a présenté et il ne s’attendait pas à ce que ce soit un tel bordel après. On a quitté nos conjoints et on s’est mis ensemble. En 6 mois, on était mariés. On a eu un bébé un an après. Avec lui, j’ai toujours l’impression qu’il ne fallait pas attendre. Il me rend très heureuse. »
Elle a poursuivi en expliquant que depuis deux ans, elle le trompe : « J’ai eu mon premier amant quelques mois après avoir accouché. Je ne me sentais plus séduisante, j’avais des choses à me prouver. Un soir où je voyais des amies, je suis allée seule dans un bar en rentrant à la maison. J’avais besoin de séduire un homme. De fil en aiguille, je me suis retrouvée chez lui et nous avons fait l’amour. Je pense que, de la première phrase au bar, au moment où j’ai claqué sa porte, il ne s’est pas passé plus de deux heures. J’ai réalisé que c’était facile et cette rapidité a été grisante. Je me sentais alcoolisée quand je suis sortie de chez lui, alors que je n’avais rien bu à part de la limonade. Je suis rentrée chez moi. En me couchant, j’avais déjà envie de recommencer. »
Une tromperie qui dure
Elle a poursuivi son témoignage en expliquant voir dorénavant, un homme par semaine : « Je les trouve sur des applications ou dans des clubs ou des bars. C’est super simple de trouver des hommes pour coucher, en fait. J’en ai croisé quelques-uns qui étaient choqués que je sache ce que je voulais et que je demande directement, mais la majorité ne pose pas de questions. Maintenant, j’ai besoin de ça dans ma vie. C’est devenu une addiction. J’arrive toujours à voler une heure quelque part où à m’organiser pour en faire venir un là où je suis et qu’on fasse des choses rapidement dans les toilettes. Je dis que c’est une addiction parce que je ne peux pas m’en passer et que ça m’est arrivé de prendre des risques. L’année dernière, j’ai fait venir un homme au bar où ma meilleure amie faisait son anniversaire. Il m’a directement retrouvée aux toilettes et il est parti juste après. C’était une prise de risque. Je sais que je ne le ferais plus. »
Bientôt la découverte ?
Si pour le moment son mari ne se doute de rien, Anastasia vit dans l’inquiétude : « Je ne sais pas comment je pourrais justifier ça. Je n’ai pas un amant dont je sois amoureuse. Je n’ai aucune raison d’aller chercher du sexe ailleurs. Mais j’aime l’idée des amants dont j’oublie les prénoms et les visages, de la quantité, du frisson du sexe rapide et qui vient s’imposer dans le quotidien. Je sais que si mon mari découvre tout ça, je vais le dégoûter. Il ne va pas comprendre. Il ne peut pas comprendre. Et je ne peux pas lui en vouloir pour ça.«
« Mais là, en ce moment, je ne me sens pas capable d’arrêter. Je n’arrive pas à me dire « celui-là, c’est le dernier ». Il y a toujours un truc qui me fait repousser ce moment. Soit le sexe n’était pas fou, soit j’ai une opportunité ailleurs que je ne veux pas gâcher. En fait, je me mens à moi-même. Je devrais arrêter, mais je ne ne peux pas. Ce n’est pas une question de raison, c’est une question d’envie. Je ne veux pas arrêter. L’idéal pour moi, ce serait de pouvoir continuer jusqu’à ce que je me lasse. J’espère juste que je ne vais pas me faire attraper et que ça ne va pas foutre toute ma vie en l’air. De l’autre côté, j’ai un mari que j’aime et une petite fille que j’adore. J’ai des choses à perdre. Mais ça ne monte pas au cerveau. Ça ne suffit pas pour me faire arrêter. »
Que pensez-vous de ce témoignage ? Une réaction sur cette histoire improbable ?
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