La terrible histoire des victimes d’un crash aérien devenus cannibales pour survivre !
Crash d’avion, seul moyen de survivre, devenir cannibales…
Le 13 octobre 1972, un avion se crash dans la Cordillère des Andes au milieu de nulle part. A son bord 45 passagers uruguayens, dont 17 qui moururent pendant l’accident ou de leurs blessures. La majorité étaient des joueurs de rugby se rendant à un match qui devait être disputé au Chili. Etant coincés en haute montagne, sans aide, car l’avion étant indiscernable (car blanc comme la neige) et les conditions climatiques très mauvaises, ils commencèrent à survivre en mangeant des barres chocolatées et autres sucreries présentent dans la carcasse de l’avion.
Une dizaine de jours plus tard, ils apprirent par radio que les recherches de leur avions étaient interrompues à cause des mauvaises conditions climatiques. C’est comme de chercher une aiguille dans une botte de foin que de trouver un avion dans la Cordillère des Andes ! Bloqués sur le glacier, ils ne pouvaient pas entreprendre d’expéditions à cause du froid et de la neige, ils décidèrent de commencer à se nourrir de la chair de leurs équipiers et famille afin de survivre.
La neige avait conservé les corps sans vie comme dans un frigo.Ils ont pu survivre en devenant cannibales pendant plusieurs semaines en attendant l’arrivée d’une saison meilleure avec de la fonte de neiges, pour entamer une expédition dans le but de trouver des secours. Leur matériel de randonnée était de simples chaussures de rugby… Plus de deux mois après le crash, Fernando Parrado et Roberto Canessa deux rescapés du crash ont parcourusles 3/4 des Andes pour être finalement sauvés par un berger Chilien, ils ont ensuite communiqué l’endroit exacte de l’accident pour secourir les autres passagers.
Quelques jours après l’accident, ils déclarèrent ceci à la presse : «… le jour est arrivé où nous n’avions plus rien à manger, et nous nous sommes dit que si le Christ, pendant la Cène, avait offert son corps et son sang à ses apôtres, il nous montrait le chemin en nous indiquant que nous devions faire de même : prendre son corps et son sang, incarné dans nos amis morts dans l’accident… Et voilà, ça a été une communion intime pour chacun de nous… C’est ce qui nous a aidé à survivre… ». Ils assumèrent leurs actes face au monde entier, leurs amis décédés venaient de leur sauver la vie et continuaient de vivre en eux d’une certaine manière…