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Au supermarché, une femme lui a dit que sa fille était « pourrie gâtée » ! La maman a répondu de la meilleure façon qui soit !

Publié par Elsa Fanjul le 29 Sep 2016 à 10:40

Kelly Dirkes était en train de faire ses courses avec sa fille contre elle lorsqu’elle a entendu une femme dire : « Encore une qui va faire de son gamin en enfant pourri gâté ! ». EN effet, sa fille était en train de pleurer et Kelly la consolait, lui parlait doucement, la câliner mais ne la grondait pas. La personne qui s’es permis de juger (appelons la « la ******** qui ferait mieux de s’occuper de son *** » …pardon) a du penser que la petite faisait un caprice. Et quand bien même ? De quoi je me mêle. Bref. Kelly n’a pas jugé bon de prendre cette femme à partie dans le magasin. Elle avait mieux à faire : s’occuper de sa fille et faire ses courses. Mais en rentrant chez elle, elle a publié un long message sur Facebook pour raconter son histoire et surtout celle de sa fille. Non pas pour se justifier. Kelly n’a pas à se justifier. Mais pour que tout le monde comprenne e qui s’est passé.

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« Chère Dame du supermarché,

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Je l’ai déjà entendu souvent vous savez. Que je gâte trop cet enfant. Vous pensez qu’il ne sera jamais indépendant. Je vous ai fait un sourire, j’ai embrassé ma fille sur le front et j’ai continué mes courses. Si seulement vous saviez.

 

Si vous saviez qu’elle a passé les 10 premiers mois de sa vie dans un lit de métal triste, avec rien d’autre que son pouce pour se réconforter. Si vous aviez vu son visage quand la gouvernante de l’orphelinat me l’a mise dans les bras pour la première fois, un moment de sérénité empreint de terreur.  Personne ne l’avait tenue comme ça auparavant, et elle ne savait pas comment réagir.

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Si vous saviez qu’elle était étendue toute la journée dans son lit et ne pleurait jamais, car jusque-là, personne n’aurait répondu. Si vous saviez que l’anxiété était son quotidien, tout comme se frapper la tête contre son lit et se bercer elle-même pour se réconforter. Si vous saviez qu’elle est extrêmement indépendante, mais que nous passerons des mois et des années afin d’effacer les traumatismes et les peurs de son esprit.

 

Si vous saviez que maintenant elle s’exprime. Elle gémit quand on la couche e plus quand on la prend dans nos bras. Elle chante aussi, le plus fort qu’elle peut, car elle sait que quelqu’un viendra prendre soin d’elle. Maintenant, elle se fait bercer dans les bras de papa ou de maman, au lieu de se bercer elle-même.

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Si vous saviez comment nous avons pleuré la première fois qu’elle est venue nous voir pour se faire réconforter, d’elle-même. Gâter cet enfant est la chose la plus importante que je ferai de ma vie et c’est un privilège. Je la porterai jusqu’à ce qu’elle ne veuille plus, car elle aura compris qu’elle est aimée, en sécurité et a une famille. »

 

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On en connaît une qui a perdu une occasion de se taire. 

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