Un couple vit parmi ses 75 poupées vintage qu’ils mettent en scène comme leurs propres enfants
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Certains diront qu’ils sont flippants, d’autres les trouveront simplement adorables. Madeline et son mari vivent avec 75 poupées réalistes d’enfants et les mettent en situations, comme s’il s’agissait de leurs propres enfants. Pour Noël, ils se photographient avec eux, comme s’ils étaient une vraie famille, et lorsqu’ils mangent, ils les installent à table avec eux. Regardez la vidéo pour découvrir leur vie étrange, au milieu de poupées vintage.
Ils mettent en scène leurs poupées vintage dans des situations de la vie quotidienne
Sur le compte Instagram appelé All My Plastic Children, ce couple de Caroline du Sud partage des photos et des vidéos de leur vie au milieu des poupées. Madeline Dressel et son mari Malachi sont des fans du vintage, et ils sont tombés amoureux de ces modèles de poupées fabriquées dans les années 50 et 60. Mariés depuis 4 ans, tous leurs amis leur demandent en permanence quand ils vont enfin avoir des enfants. Mais ils ne sont pas particulièrement pressés de répondre à cette question étant donné qu’ils vivent avec leurs poupées, qui jouent ce rôle à la perfection.
Certains les trouvent malaisants pourtant tout est fait avec humour
Lorsque Malachi prépare à manger, il utilise l’une de ses « filles en plastique » pour touiller dans la préparation. Lorsqu’ils font une balade en forêt, ils prennent avec eux quelques poupées afin qu’elles prennent un peu l’air. Au départ, le couple a acheté une ou deux poupées pour la blague, car ils étaient amateurs d’objets et de jouets vintage. Mais au fur et à mesure, ils se sont pris au jeu et maintenant, ils entretiennent une relation particulière avec leurs poupées. « Les gens qui nous connaissent ou qui ont pris le temps de discuter avec nous, ont une image positive de nous. Ils comprennent le côté amusant et apprécient le temps qu’on passe à faire nos mises en scène pour les photos. Par contre, quand c’est sorti du contexte, comme c’est vite le cas sur Internet, alors on est inondé de commentaires de personnes qui disent que nos images sont gênantes, qu’ils font des cauchemars… »
Crédits : Madeline Dressel
