Un pervers simule une crise cardiaque quand la police lui demande d’évacuer un train
Cette scène s’est déroulée dans un train à Buenos Aires. Un homme étrange, soupçonné d’être un pervers, refusait d’obtempérer avec la police. Des policiers étaient montés à bord du train, alors que plusieurs femmes s’étaient plaintes du comportement de l’homme qui les filmait avec son téléphone. Pendant plusieurs minutes, le vieil homme est resté assis, refusant de sortir du wagon comme lui ordonnaient pourtant les forces de l’ordre. Dans une ultime tentative d’échapper à la police, il a simulé un malaise et a fait semblant d’avoir une crise cardiaque. Regardez ce moment bizarre dans la vidéo ci-dessous.
Le pervers filmait des femmes avec son téléphone
La vidéo initiale dure 10 minutes. Pendant toute la première partie de la vidéo filmée par une passagère en colère, on peut voir un vieil homme assis dans un train, en train de se faire crier dessus par des femmes. On peut les entendre hurler sur l’homme en espagnol, lui demandant d’effacer des photos qu’il avait sur son téléphone. Elles l’accusent d’avoir filmé et pris des photos de femmes pendant le voyage. L’homme se défend, dit que ce n’est pas vrai, puis finira par se justifier en disant qu’une femme portait une tenue un peu trop provocante et que c’est la raison pour laquelle il l’a prise en photos.
Il refuse d’obtempérer et simule une crise cardiaque
Des policiers qui se trouvaient dans le train ont fini par entendre l’altercation et s’en sont mêlés. Ils demandent à l’homme de quitter le train. Lui, fait mine de ne pas comprendre et marmonne des choses incompréhensibles. Pendant plusieurs minutes, les policiers lui ordonnent de se lever mais il ne bouge pas. Quand un des agents l’empoignent, le pervers se met à pousser des cris et il pose sa main sur son cœur, feignant une crise cardiaque. Son piètre jeu d’acteur est ridicule et rend la scène gênante presque risible. La vidéo de l’altercation a été vue plus d’1,5 million de fois sur le profil personnel de la passagère qui a filmé la scène.
Crédits : CEN