Ils ont décidé de trouver à tout prix l’odeur de la mort…cela parait hallucinant, mais cela a une vraie utilité !
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Depuis longtemps, l’homme a toujours considéré être plus proche du singe ou du poisson dans son évolution. Aujourd’hui de nouvelle recherche nous montre que l’homme serait le plus proche du cochon au niveau moléculaire. En effet, nos deux espèces ont cinq molécules en communes dégagées par le corps humain.
Une découverte belge, publiée dans une revue scientifique Plos One, réalisé par des laborantins de toxicologie de l’université de Louvin, Eva Cuypers, chimiste, et Elien Rosier, une étudiante, ont mis en évidence qu’un corps humain en décomposition avait une odeur particulière. Afin de réaliser cette étude pendant une durée de six mois, en mettant en bocal 26 différents échantillons d’animaux et 6 différents échantillons de cadavre humain. C’est la première fois qu’un tel protocole a été mis en place autour d’autant d’échantillons pour par la suite analyser les gaz dégagés par la putréfaction des échantillons.
Il reste désormais à valider cette découverte pour l’ensemble du corps humain en prenant en compte différents facteurs environnementaux tels que l’humidité, la température ou la nature du sol. Cette découverte pourrait permettre de retrouver plus rapidement les corps de disparus ou victime de meurtre en entraînant plus efficacement les chiens policiers.
