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Les gendarmes dévoilent l’étonnante carte postale d’un automobiliste mécontent

Publié par Elodie GD le 27 Jan 2025 à 18:05

Certains automobilistes ne manquent pas d’imagination quand il s’agit d’exprimer leur mécontentement aux forces de l’ordre.

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Un automobiliste nargue les gendarmes…

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C’est sûr, ils ne l’oublieront pas ! Les gendarmes du peloton motorisé de Mios (Gironde) ont fait, ce 24 janvier sur les réseaux sociaux, une publication un peu particulière. Intitulé « Bons baisers de Phuket », le post donne à voir la carte postale envoyée par un « client de l’unité » depuis la Thaïlande.

Parce qu’ils ont pris ces reproches avec humour, les gendarmes se sont permis de les partager avec le plus grand nombre. Ainsi, on peut lire : « Quatre mois, cela peut paraître long, mais quand on les passe au soleil, c’est plus facile. Après, on ne peut pas vous en vouloir, on ne vous apprend pas le discernement ».

Certes, la légèreté domine. Mais on y décèle toutefois une pointe d’amertume de la part de cet automobiliste ou de ce motard. Il faut dire qu’entre les lignes, celui-ci laisse entendre qu’il est privé de permis pour une durée de quatre mois. Une sanction qu’il n’a a priori toujours pas digérée.

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Une étonnante carte postale adressée aux gendarmes

… ils répliquent !

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« Cet automobiliste plein d’humour, mais encore un peu frustré nous fait savoir qu’il passe ses quatre mois de suspension de permis de conduire au soleil, en Thaïlande, confirment les gendarmes. Grand bien lui fasse, très bonne décision, au moins il est sûr de ne pas conduire en France », explique le peloton motorisé en légende du post.

Usant du même ton que leur interlocuteur, ils choisissent même de lui faire passer un petit « message personnel ».

« Rendez-vous au retour, et qu’il nous fasse savoir ses dates de prochaines vacances, c’est dans un esprit de cohésion que nous l’attendrons bien équipés avec nos jumelles, notre éthylotest et notre kit de dépistage stupéfiant », écrivent-ils à leur tour. Une mise en garde à peine voilée dont on est sûr que l’expéditeur aura pris connaissance.

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