Des poils poussent sur sa langue greffée d’une partie de sa jambe
Cameron Newsom a survécu à un cancer. Cette maman de 42 ans est devenue une petite célébrité sur TikTok, où elle poste des vidéos amusantes dans lesquelles elle se moque gentiment de sa particularité. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, sa langue est bicolore depuis qu’on lui a greffé un bout de sa jambe dans la bouche. Elle prétend même que des poils se mettent à pousser sur la langue.
>>> À lire aussi : Ces 20 stars ont dû affronter le cancer !
Elle a subi une ablation partielle de la langue
Cameron Newsom a un jour remarqué une grosseur sur sa langue. Après avoir vu plusieurs spécialistes et après plus de trois ans à se poser des questions sur cette gêne qui devenait de plus en plus handicapante pour boire et manger, un ORL a fini par lui donner un diagnostic. Il s’agissait d’une tumeur cancéreuse. Pour se débarrasser de son cancer, elle a subi une ablation partielle de la langue et pour lui permettre de parler, les chirurgiens lui ont greffé un bout de muscles et de peau issus de sa jambe.
>>> À lire aussi : Il se fait amputer des bras et des jambes à cause d’un chien qui l’a léché
Un bout de sa cuisse a été greffé à l’autre moitié de sa langue
Cameron est aujourd’hui une maman heureuse, reconnaissante de la chance qu’elle a eue de pouvoir survivre. Le jour où elle a eu son diagnostic, elle s’est précipitée sur Internet pour faire des recherches et elle a cru que le pire allait lui arriver. Finalement, elle s’en sort très bien, sauf qu’aujourd’hui elle garde un léger défaut de prononciation et que sa langue est bicolore. Une fois remise de ses opérations, elle a toutefois commencé à ressentir quelque chose d’étrange dans sa bouche. « Je sentais une texture rêche sur la partie greffée de ma langue et j’ai regardé dans le miroir. Des poils de jambes commençaient à pousser ! ». Cameron n’a pas donné de détails sur la pousse de ses poils mais elle donne régulièrement des conseils sur TikTok pour aider des personnes en difficulté à surmonter leurs problèmes.
>>> À lire aussi : Glyphosate : une étude prouve (enfin) qu’il serait cancérigène