Gendarme le jour, prostituée la nuit : La double vie d’une jeune femme de 21 ans
La jeune militaire de 21 ans mène une double vie, entre ses journées à la caserne de la gendarmerie, et ses soirées rythmées par ses posts sur les réseaux sociaux.
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Gendarme et prostituée
La prostitution, par définition, renvoie à un acte par lequel une personne consent habituellement à pratiquer des rapports sexuels avec un nombre indéterminé d’autres personnes et moyennant rémunération. Certains diront que c’est une pratique scandaleuse et à bannir, d’autres que c’est un métier à part entière.
C’est dans la deuxième vision que s’identifie une jeune femme de 21 ans, gendarme, et prostituée. L’histoire de cette militaire, relatée dans un article du Parisien, est pour le moins insolite, car si l’on sait que de nombreux Français cumulent deux jobs pour arrondir leurs fins de mois, il est pour le moins rare de voir cette pratique associée à l’armée. Et pourtant.
Ainsi, on apprend que « Cindy » (pseudonyme choisi par le média) alterne entre ses gardes la journée, et la garde de ses abonnés curieux sur les réseaux sociaux, la nuit. D’ailleurs, elle n’hésite pas à divulguer son identité dans ses clichés sulfureux où l’on voit clairement son visage. Concernant ses tarifs, Cindy les indique au bout de plusieurs messages échangés, en précisant en premier temps qu’elle est gendarme, comme si cela était un atout en plus, voire un critère sélectif pour sa clientèle. Puis, les prix : « 1 heure, 50 euros ; 2 heures, 100 euros ; la nuit entière, 250 euros » , informe le quotidien.
Contenu régulier sur Snapchat
C’est sur ce réseau social que la jeune femme livre ses prestations en ligne. Car en effet, comme elle a tenu à le préciser au Parisien, « les plans réels ne constituent pas l’essentiel de son activité intime » . En ce qui concerne l’autre partie de son business, « Cindy » se consacre surtout à du contenu vidéo, notamment avec des stories « très hot » , consacrées aux clients bénéficiant d’un « abonnement VIP » .
Pour pouvoir en disposer, il faut évidemment avoir en amont effectué un paiement, via PCS, des systèmes de cartes prépayées et rechargeables, sans nécessité de disposer d’un compte bancaire. Une manière pour elle, comme pour le client, de préserver, ironiquement, une certaine intimité, et surtout, de l’anonymat. D’ailleurs, elle affirme devoir « souvent changer de compte Snapchat » , car ils finissent toujours par être « supprimés par la plate-forme » .
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