Elle envoie une lettre de démission à son boss et lui demande de l’imprimer lui-même, poussant la provocation jusqu’au bout
Suivez nous sur Google News
Beth Ashley, une jeune employée de 22 ans, a également un goût « malsain » pour la provocation. C’est en tout cas ce qu’a pensé son patron, lorsque celui-ci a reçu un message de Beth, lui demandant d’imprimer lui-même sa lettre de démission. L’assurance et le culot avec lesquels elle a demandé à son boss d’imprimer sa lettre, cache en réalité une autre histoire…
> À lire aussi : 30 façons hilarantes de démissionner : et oui, ils l’ont fait !
Une employée envoie une lettre de démission à son patron
Beth Ashley est rédactrice. Toute la journée, elle écrit encore et encore pour une boite de marketing. Quand son petit-ami lui a demandé de l’aide pour écrire sa lettre de démission, elle a bien entendu accepté et lui a écrit sa lettre en quelques minutes. Après avoir validé son texte, son petit-ami lui a encore demandé un dernier service, celui de l’imprimer. Sans réfléchir, Beth a accepté d’imprimer la lettre qu’elle venait d’écrire, en envoyant le document à son patron, n’étant pas connectée à l’imprimante.
> À lire aussi : Une façon radicale mais efficace pour démissionner ! (vidéo)
Son boss répond avec humour à la jeune femme culottée
Par messagerie instantanée, elle écrit à son patron et collègue Andrew Clarke : « Pouvez-vous imprimer cela pour moi ? ». Puis elle envoie le document Word en pièce jointe. Sauf que la messagerie affiche le nom du fichier, qui était sobrement intitulé « Lettre de démission ». Sans même ouvrir le fichier, Andrew Clarke a failli tomber de sa chaise en voyant le culot de son employée qui luiannonce par messagerie sa démission et qui en plus lui demande de l’imprimer lui-même. « À quel genre de jeu de pouvoir malsain es-tu en train de jouer ? », lui répond son patron. Beth a bien entendu partagé sa mésaventure sur les réseaux sociaux, avouant que son patron avait peut-être compris de quoi il s’agissait mais avait préféré jouer le jeu pour la taquiner. « Il connait très bien mon petit-ami donc je pense qu’il avait compris que c’était la lettre de mon petit-ami, mais il a préféré me taquiner dans sa réponse. Il a préféré continuer à jouer le jeu comme si j’étais une garce mais tout va bien. Je travaille toujours là et personne ne m’a virée », explique-t-elle pour rassurer sa communauté.
> À lire aussi : Démissionner avec panache…et goût !
Crédits : Kennedy News Media
