Vous n’allez pas en croire vos yeux en lisant l’ingrédient principal de ce shampoing
Les soeurs de l’abbaye Notre-Dame à Brecht, en Belgique, confectionnent des produits d’hygiène et de nettoyage depuis des années. Elles ont innové en produisant un shampoing à la bière.

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Une shampoing à la bière
Amoureux de la bière, ce liquide n’est pourtant pas à boire ! Les bonnes propriétés de la levure de bière pour les cheveux promettent un shampoing aux vertus plus que bénéfiques pour notre cuir chevelu.
Les soeurs belges de l’abbaye de Notre-Dame-de-Nazareth ont commencé en 1964 à produire du liquide vaisselle. Puis, par la suite, elles confectionnent alors du savon, du bain moussant et du shampoing sous le nom de marque Trapp.
Leur nouvelle gamme comprend un savon de main liquide, un gel douche, un shampoing et une lotion corporelle. Mais le produit qui intrigue les plus curieux est le fameux shampoing à base de Westmalle double, célèbre bière trappiste.
Soeur Katharina explique les bienfaits de la bière pour le corps
La bière est utilisée à hauteur de 10% dans le shampoing. « C’est un shampoing légèrement parfumé avec un effet démêlant » explique soeur Katharina, abbesse de Notre-Dame.
« Les monnaies plus âgées se souviennent qu’à l’époque, la bière servait à friser et à faire briller les cheveux. Nous avons demandé à l’Institut Meurice à Bruxelles d’entamer une étude scientifiquement fondée sur les bienfaits de la bière pour la peau et les cheveux. Et selon l’étude, ces bienfaits sont abondamment présents grâce aux polyphénols, oligo-éléments, vitamines et minéraux. Ils stimulent le volume naturel de la coiffure et rendent les cheveux brillants. » poursuit-elle.
Pour avoir une belle crinière, vous savez maintenant quel est le produit insolite qu’il vous faut. Ce shampoing, produit de manière traditionnelle dans une abbaye, séduira grand nombre d’entre vous. Les soeurs vendent le flacon de 330 mL pour un peu moins de 10 euros.
De plus, pour finir sur une belle action, les recettes des ventes subviennent aux besoins de la communauté moniale, comme le veut la règle de Saint-Benoît.