Après une soirée trop arrosée, ce jeune homme de 19 ans se retrouve avec le visage couvert de tatouages
On ne cesse de le dire : l’alcool, c’est avec modération. Cette phrase peut vous éviter un grave accident, une gueule de bois ou alors une erreur fatale. Mark Cropp en a fait l’expérience, et il le regrette amèrement. Lorsqu’il avait 19 ans, le jeune homme s’est fait tatouer l’intégralité du bas du visage en prison. Découvrez son histoire digne d’une série Netflix ci-dessous.
Mark Cropp, un voyou que l’on croyait repenti
Non, l’homme que vous voyez là n’est pas un adepte des transformations physiques extrêmes comme l’Homme Satan. Mark Cropp a vécu une jeunesse compliquée. Ancien accro à la méthamphétamine, il a fait de la prison pour divers délits. Le Daily Mail mentionne notamment une agression contre une femme, le port d’une arme factice, et même un braquage à main armée.
Derrière les barreaux, Mark Cropp a vécu l’enfer. Il relate à nos confrères britanniques qu’il a perdu la vue à un oeil suite à une attaque par plusieurs gangsters. Une fois sorti, le jeune homme était déterminé à s’assagir pour devenir un exemple pour sa famille. Il avait même décidé de trouver du travail, un choix difficile avec une telle apparence.
Grâce à un appel à l’aide lancé sur Facebook en 2017, Mark Cropp est devenu célèbre dans son pays. Hélas, le voyou qui sommeillait en lui a de nouveau frappé. Deux ans plus tard, le père de famille a reconnu avoir agressé une femme enceinte.
Mark Cropp has had a change of heart about his laser removal treatment #NZHFocus pic.twitter.com/BjsL7sDWfI
— nzherald (@nzherald) August 4, 2017
Un tatouage fait dans des conditions désastreuses
Retour à la case départ pour le délinquant, qui partage désormais un point commun avec les plus grands criminels. Son tatouage à la mâchoire porte l’inscription « Devast8 » , en hommage à son surnom. C’est son frère, qui était également son co-détenu, qui s’est chargé d’effectuer le dessin sur sa peau. Alcoolisés grâce à un mélange préparé par leurs soins, ils se sont lancés dans la préparation d’un cocktail très dangereux.
Vous vous doutez bien que tout l’attirail d’un tatoueur professionnel n’est pas disponible en prison. Mark Cropp et son frère ont donc dû improviser, en mixant du dentifrice et du plastique fondu. Pour combler le tout, ils ont utilisé une aiguille faite à partir d’un ressort de stylo. « C’était gonflé comme une citrouille » , se souvient le Néo-zélandais.
Suite à son témoignage sur Facebook, un salon de tatouage lui avait gracieusement offert des séances de détatouage au laser. C’est une aubaine pour le jeune homme, qui regrette amèrement son erreur. Hélas, il n’a pas voulu poursuivre le cheminement.