De jeunes agriculteurs de l’Oise se mettent à nu pour financer leur voyage
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Toutes les idées sont bonnes pour avancer et ce ne sont pas les agriculteurs de l’Oise qui vont dire le contraire. En effet, alors que certains reçoivent des lettres très coquines, neuf agriculteurs et trois agricultrices du département se sont déshabillés pour un calendrier afin de financer un voyage d’études à l’étranger.
Les agriculteurs de l’Oise font tomber les bottes pour partir en voyage
Avec pour exemple le calendrier des Dieux du Stade, ainsi que leurs collègues il y a quelques années, de Jeunes Agriculteurs de l’Oise ont fait tomber les blouses de travail et les bottes pour financer leur voyage d’études. Comme l’indique la présidente des Jeunes Agriculteurs de l’Oise, Gwenaëlle Desmuraux, tout a commencé lorsqu’ils ont eu le projet de réaliser un voyage d’études à proposer aux adhérents. Le but étant de pouvoir visiter d’autres exploitations, d’autres systèmes de production, et si possible à l’étranger.
Mais pour ce faire, ils avaient besoin de finances. C’est alors qu’ils ont commencé à réfléchir aux façons de financer le voyage et ont eu l’idée du calendrier. Pour eux, c’était le meilleur moyen de communiquer positivement sur la profession. Une idée qui a d’ailleurs immédiatement emballé le Conseil d’administration et ils ont rapidement trouvé des adhérents volontaires pour poser nu pour le calendrier.
Quelle sera la destination finale ?
Bien évidemment, les jeunes espèrent à présent que ce calendrier soit un franc succès commercial. D’ailleurs, si vous souhaitez l’acquérir, n’hésitez pas à cliquer ici, ils seront en ligne dans la journée du 3 Octobre.
En attendant, les Jeunes Agriculteurs réfléchissent déjà au pays qu’ils souhaitent visiter. Et si beaucoup ont immédiatement pensé aux États-Unis, il n’y a rien de défini, comme le souligne la présidente. Un sondage aura lieu lors des assemblées générales cantonales, car les USA ne correspondront peut-être pas à ce que la majorité attend. Quoi qu’il en soit, l’objectif principal reste de visiter plein de systèmes de production et de découvrir de nouvelles manières de travailler.
