Pour environ 100 €, les marques peuvent faire tatouer leur logo sur le front de ce jeune homme
Tony O’Rourke, 25 ans, pense avoir trouvé la solution pour devenir riche. Cet ancien serveur a décidé de vendre son corps à des marques. Il propose de faire tatouer son front aux marques qui serait prêtes à lui donner 100 livres sterling. Attention, le tatouage ne serait pas permanent. Par contre, les marques plus intéressées par un contrat indéterminé peuvent toujours espérer se trouver tatouées dans son dos à l’encre permanente. Regardez la vidéo pour découvrir Tony et son idée de business un peu particulière.
Il propose aux marques de tatouer leur logo sur son front
On oserait dire à Tony O’Rourke que son business plan ne tient pas la route ? Ce jeune Britannique compte gagner de l’argent en louant son front à des marques. N’ayant qu’un seul front, il pense d’abord le vendre à une première marque pour 100 livres, soit environ 110 euros. Pour cette somme, il prendra la peine de rencontrer la marque et de réfléchir avec elle, si elle préfère qu’il se fasse tatouer leur logo ou leur slogan. Selon lui, offrir un logo à hauteur des yeux des clients potentiels est un avantage marketing certain pour les marques.
Un tatouage permanent est possible dans son dos
Sur un site de petites annonces, il explique son offre ainsi : « Je propose une opportunité publicitaire unique pour votre société. Je suis prêt à me faire tatouer le logo ou le slogan de votre entreprise sur mon front, pendant 30 jours. » Pour gagner plus d’argent, il a pensé à recouvrir une surface plus importante de son corps, notamment son dos. Il a précisé qu’il accepterait de se faire tatouer ailleurs sur le corps « de façon permanente ». Si vous êtes intéressé par cette dernière proposition, il faudra négocier. « Ne manquez pas cette chance de booster la reconnaissance de votre marque ».
Il pense pouvoir gagner beaucoup d’argent
Tony est prêt à accepter à peu près tous types de pubs, à quelques exceptions près. « Il faut que ça reste raisonnable. J’ai un jeune enfant. Je ne peux pas me balader avec le logo d’un sex-shop sur le front. J’ai bossé dans la construction, j’ai travaillé dans des bars pendant des années, mais je n’ai jamais gagné beaucoup d’argent, suffisamment d’argent. Quand soudain ça m’a frappé. Je pense que c’est une bonne idée et j’aimerais que ça se fasse. Les gens savent que je fais des choses un peu folles. »
Crédits : BPM Media, SWNS