François Hollande : sa blague pas tendre du tout sur Nicolas Sarkozy provoque l’hilarité !
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Invité dans l’émission Youtube Le QG, Patrick Sebastien a ressorti une anecdote. Il rappelle quand François Hollande avait clashé Nicolas Sarkozy. Découvrez cette séquence dans la vidéo ci-dessous :
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Le monde de la politique n’est jamais très rose. Cela arrive souvent que les personnes du gouvernement ne s’apprécient pas entre elles. Et c’était notamment le cas de François Hollande et de Nicolas Sarkozy, à qui il a succédé.
Patrick Sebastien était l’invité de l’émission Le QG sur Youtube, présentée par Guillaume Pley et Jimmy Labeuu. Le célèbre animateur en a profité pour ressortir une anecdote sur les deux anciens présidents. Le compagnon de Julie Gayet avait clashé celui de Carla Bruni. Une blague qui n’a pas plu à Nicolas Sarkozy.
François Hollande clash Sarkozy
« Hollande est très drôle, je devais aller le voir, et je voulais marquer le coup. Quand j’ai été le voir je lui ai dit « J’ai un cadeau pour toi ». Je lui ai dit : « Je t’ai ramené quelque chose pour que tu ne te fasses pas gauler la prochaine fois »… » , raconte l’humoriste. La surprise en question était en fait un masque en plastique, mais pas n’importe lequel. Celui-ci était à l’effigie de son prédécesseur. « Il a regardé le masque et il m’a dit : « C’est ressemblant : le sourire, le charisme ». Et puis il le retourne et dit : « Derrière aussi : c’est creux et vide, c’est lui ! »‘ , a poursuivi Patrick Sebastien.
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Une querelle qui date
La querelle entre les deux anciens présidents a débuté le jour de l’investiture de François Hollande. Celui-ci n’avait pas raccompagné son prédécesseur à sa voiture. En juillet dernier, Nicolas Sarkozy était invité sur TF1. Il en a profité pour discuter de ses successeurs. « Ne me faites pas de peine… Je ne sais pas, on est très différent… Mais en même temps, mettez-vous à ma place… Je suis passé d’un président de la République, François Hollande, qui voulait détruire tout ce que j’avais fait, qui voulait me faire tous les ennuis possibles et inimaginables, à un président de la République qui est républicain » , confiait l’homme politique.
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