Un nouveau signe fait son apparition sur certains appareils électroniques ! Et c’est une excellente nouvelle
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Qu’est-ce que l’indice de réparabilité ? Le 1er janvier 2021, cet indice est entré en vigueur en France, puis a été félicité par Emmanuel Macron. Cette note graduée sera indiquée sur certains produits électroniques, comme les télévisions ou encore les smartphones.
L’indice de réparabilité entre en vigueur en France
Dès le 1er janvier, l’indice de réparabilité est entré en vigueur, en France. Cet indice est une note graduée de 0 à 10. Emmanuel Macron se félicite de cette bonne nouvelle sur Twitter, où il précise que l’indice « sera désormais affiché sur certains produits électroniques ».
De ce fait, les appareils qui ne sont pas réparables se verront attribuer une mauvaise note. En revanche, les produits où la réparation coûte peu seront mieux notés. L’indice de réparabilité est une initiative française. Il a pour but d’informer les consommateurs sur la possibilité de réparer leurs produits. De plus, les constructeurs sont encouragés à améliorer l’écoconception de leurs produits.
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Plusieurs critères pour donner une note
Bien que ce soit une belle initiative, l’indice de réparabilité ne sera pas présent de suite sur les étiquettes. L’étiquette mentionnant l’indice arrivera peu à peu, au cours de l’année 2021. De plus, il faut savoir qu’une sanction n’est, pour le moment, prévue en cas de défaut d’affichage.
Seulement quelques produits seront concernés par cet indice. Il y a les smartphones, les ordinateurs portables, les téléviseurs, les tondeuses à gazon ainsi que les lave-linge à chargement frontal.
Cette étiquette sera donc disposée rayon, à côté de chaque produit. Elle mettra en avant une note, et sera graduée du vert, pour le meilleur au rouge, pour le plus mauvais.
Le score est calculé en fonction de cinq critères :
- La qualité de la documentation fournie par le fabricant
- La facilité de démontage
- L’accès aux pièces détachées et outils nécessaires
- Le prix
- Le type de produit en lui-même
La note sera donnée par le fabricant lui-même. Si un organisme indépendant aurait dû s’occuper de noter les produits, « le processus aurait été ingérable, trop lourd et trop cher », souligne Stéphane Hocquet, haut fonctionnaire au ministère de l’écologie. Ce sera la DGCCRF qui contrôlera la sincérité de la note.
