Adieu les smartphones : Selon Bill Gates, ils vont bientôt être remplacés
À l’heure où le smartphone est devenu un outil incontournable du quotidien, Bill Gates est persuadé qu’il vit ses derniers instants.

Bill Gates, résolument visionnaire
Les smartphones bientôt obsolètes ? Bill Gates en est persuadé ! Hommes d’affaires avant-gardiste et assurément visionnaire, le sexagénaire prédit de sombres heures pour le smartphone. Pourtant, celui-ci n’a jamais aussi utilisé. Non content de nous permettre de rester en contact, il assure l’intermédiaire avec notre banque, nos assurances, nous sert de pense-bêtes et suit nos déplacements et notre état de santé de près. Bref, il est devenu essentiel.

Si bien que des versions toujours plus améliorées voient régulièrement le jour, quelle que soit la marque.
Cependant, les dystopies de sciences-fictions sont persuadées que le progrès n’en est qu’à ses débuts. Un avis que partagent Bill Gates et Mark Zuckerberg. Mais quand le second place tous ses espoirs dans les lunettes connectées, le premier mise sur une technologie presque effrayante.

Un tatouage temporaire et électrique ?
Il s’agit du tatouage électronique. Une technologie souvent mise en scène dans les productions évoquant un futur supplanté par les machines. Plus besoin de porter sur soi un appareil pour effectuer les tâches quotidiennes : notre propre corps suffit ! Une perspective à la fois attrayante et inquiétante.
La technologie en laquelle croit Bill Gates prend la forme d’une encre temporaire, conductrice d’électricité. Une fois implantée dans la peau, elle aura la capacité de répondre aux mêmes besoins qu’un smartphone : appels, géolocalisation, réseaux sociaux… Bref, tous vos outils préférés seront disponibles à portée de main.

Auparavant évoquée dans le cadre médical, la technologie intéresse donc les milliardaires de la Silicon Valley, notamment Bill Gates. Toutefois, elle soulève des questions évidentes de confidentialité. La présence continuelle de capteurs sous la peau est la garantie de l’accessibilité de nos datas — très – personnelles à d’importantes bases de données. Une perspective peu rassurante pour les utilisateurs attachés à la protection de leur vie privée.