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« Il y avait l’odeur » : Une voisine de Xavier Dupont de Ligonnès décrit le jour de la découverte des corps

Publié par FJ le 18 Août 2022 à 17:15
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Il y a 11 ans maintenant, Xavier Dupont de Ligonnès disparaissait dans la nature après que sa femme et ses quatre enfants aient été retrouvés enterrés sous la terrasse. La voisine de la famille s’est confiée pour la première fois dans les colonnes de Police Justice. Elle a fait des confidences glaçantes sur les jours qui ont précédé le drame qui s’est déroulé boulevard Schumann à Nantes. 

xavier dupont de ligonnes odeur voisine

Xavier Dupont de Ligonnès toujours porté disparu

La vidéo du jour

C’est sans aucun doute l’un des faits divers français qui fait le plus parler avec le meurtre du petit Grégory. En avril 2011, une famille nantaise disparaît du jour au lendemain. Le père, Xavier Dupont de Ligonnès envoie une missive à ses proches, désormais connue sous le nom « Coucou tout le monde » pour expliquer qu’ils étaient partis aux Etats-Unis après avoir été recrutés par la DEA pour intégrer des discothèques dans le but de démanteler un réseau de drogue.

Une histoire à laquelle personne n’a cru. Les gendarmes ont fait plusieurs visites au domicile, sans jamais rien trouver. Près d’une semaine après l’annonce, ils retournent une nouvelle fois au domicile et l’une des enquêtrices se penche sur la terrasse. Le père de famille avait insisté sur le fait qu’il ne fallait pas y toucher. 

« Il y avait l’odeur »

Elle commence à creuser, et découvre les cinq corps, les quatre enfants et Agnès. Sont également présents les deux labradors de la famille. Mais un manque à l’appel Xavier. 11 ans après le terrible drame, personne ne sait où se trouve le père de famille.

Et ce lundi 15 août 2022, c’est la voisine des Dupont de Ligonnès qui s’est confiée pour la première fois auprès du magazine Police Justice. Elle a fait des réflexions glaçantes sur les jours qui ont suivi le drame : « On se rappelle tous, ce que nous faisions, ce jour-là. Je les ai fait entrer par la porte de derrière, pour qu’ils ne passent pas devant la maison et qu’ils s’imaginent des choses… Seulement, il y avait l’odeur, quand on a sorti les corps.  C’était intenable. Ça a duré plusieurs jours, on a évité de manger dans le jardin« . 

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