Xavier Dupont de Ligonnès : ce complice qui l’aurait « aidé pour pouvoir partir »
Depuis le meurtre de sa femme et de ses quatre enfants, Xavier Dupont de Ligonnès demeure toujours introuvable. Un grand mystère qui touche toute la France, à tel point que certaines personnes croient le voir partout dans le pays. Récemment, une vidéo prétendait le montrer dans la ville de Cannes. En réalité, les théories sur le lieu où il se cache sont nombreuses.
Parmi elles, la théorie d’une voyante. Selon cette dernière, Xavier Dupont de Ligonnès aurait été aidé par une personne tierse pour s’enfuir. Un homme qui l’aurait ainsi accompagné pour changer de vie et à partir loin.
Xavier Dupont de Ligonnès, caché chez un « homme de loi » ?
Mais que s’est-il donc réellement passé en avril 2011, à Nantes ? Où se trouve maintenant Xavier Dupont de Ligonnès, suspecté du meurtre de sa femme et de ses quatre enfants ? Demeurant introuvable, tout le monde tente de percer le mystère de sa disparition suite au drame. Le retrouver serait un bon début afin d’obtenir des réponses sur les circonstances de ce multiple assassinat. Certaines personnes pensent qu’il se cache à l’autre bout du monde, toujours en vie en Thaïlande, par exemple.
Ce vendredi 2 septembre 2022, dans le cadre de l’enquête sur la disparition de Xavier Dupont de Ligonnès, une voyante française a dévoilé une toute nouvelle théorie à ce sujet. Dans une vidéo partagée sur YouTube, sur la chaîne Voyance Info, elle affirme que Xavier Dupont de Ligonnès serait encore vivant. Selon la médium, l’homme serait actuellement hébergé par une personne qui l’aurait d’ailleurs aidé à fuir sa situation. L’homme qui le cacherait serait même « un homme de loi » .
La thèse du suicide écartée par plusieurs personnes
La voyante explique que « quand il va commencer à penser qu’il risque de se faire bientôt avoir par la police, il va bouger d’ici à la fin de 2022, mais il arrivera encore à s’enfuir » . En parallèle, rappelons que celui qui aurait tué sa femme et ses enfants est toujours suspecté de s’être suicidé. Mais, récemment, un policier a démenti cette théorie.
« Des études psychologiques montrent que si, en 48 heures, l’assassin ne s’est pas suicidé, il est très peu probable qu’il le fasse ensuite, car passé ce délai, s’il n’est pas passé à l’acte, c’est qu’il a su dépasser le traumatisme lié au meurtre. Tôt ou tard, il finira bien par faire une erreur » , a-t-il expliqué dans Le Figaro.