Une mère de famille habillait sa fille en Playmate et commettait le pire…
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Le verdict est tombé mardi dernier. Une mère a été emprisonnée pour 10 ans, alors qu’elle habillait sa fille de neuf ans avec des tenues Playboy et la regardait pendant qu’elle se faisait violer. Une histoire sordide… Le Tribunal du Net fait le point sur cette affaire.
Une « tenue Playboy » avec des oreilles de lapin…
À l’âge de neuf ans, la fillette a été agressée tous les deux jours environ. Ces agressions ont duré environ un an, de 2014 à 2015. En effet, la jeune fille a été réveillée à plusieurs reprises, avec des hommes au-dessus d’elle alors qu’elle portait des oreilles de lapin, et en costume « Playboy« . L’abus est apparu lorsque la fillette a écrit une note disant que sa mère avait l’habitude de venir avec des amis, et de la toucher de manière inappropriée… Elle a dit également quelques temps plus tard que sa mère avait demandé de l’argent aux hommes après leur agression. Mardi dernier, le juge David Kent a condamné la maman de 41 ans à 10 ans de prison.
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Reconnue coupable
Elle a été reconnue coupable, chez elle à Gold Coast, d’avoir retenu sa fille dans cet accoutrement alors que des hommes la violaient. En effet, la mère de famille, dont son nom n’a pas filtré par mesure de sécurité, devra purger 80% de sa peine avant d’être éligible à la liberté conditionnelle. Selon le Courier Mail, le juge David Kent a par d’ailleurs déclaré : « Votre conduite permettait ou aidait d’autres personnes à commettre des actes sexuels sur le plaignant » avant d’enchaîner : « C’est une infraction extrêmement grave et… je ne suis pas particulièrement convaincu des perspectives de réhabilitation. »
Reconnue coupable de cinq agressions sexuelles en mars, la femme a crié : « c’est tellement faux » ou encore « cela ne s’est même pas produit! ». Rappelons qu’elle a déjà passé 20 mois en détention.
La fille est suicidaire
Désormais âgée de 15 ans, la fille aurait des problèmes de santé au niveau mental. Durant le procès, elle était d’ailleurs à l’hôpital pour surveiller son état de santé. Le père de la fille, en détention au moment des faits, a déclaré au tribunal que la santé mentale de sa fille souffrait et qu’elle était sous surveillance : « Je dois supporter un enfant qui a tenté de se suicider trois fois. »
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