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Une partouze à laquelle participait un député interrompue par la police !

Publié par Elisa GERLINGER le 02 Déc 2020 à 8:29

Ce vendredi 27 novembre, un gang bang clandestin a été interrompu au centre de Bruxelles. Un député européen se trouvait parmi les 25 personnes présentes.

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Bruxelles

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Ce vendredi 27 novembre, la police belge a du mettre un terme à une soirée clandestine. Au premier étage d’un bar de la rue des Pierres, au centre de Bruxelles, avait lieu un gang bang. 25 personnes participaient à cette partie de jambes en l’air, dont principalement des hommes.

De l’alcool ainsi que des stupéfiants ont été retrouvés sur place. Les participants ont été verbalisés mais relaxés par le parquet. Seulement, une personnalité politique se trouvait également à cette soirée. Il s’agirait d’un député européen.

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Un député participait au gang bang

L’homme en question serait un membre de Fidesz, le parti conservateur et populiste hongrois dont fait partie le Premier ministre Viktor Orbán. Lors de l’intervention des forces de l’ordre durant le gang bang, l’Hongrois aurait tenté de prendre la fuite par la gouttière. Mais il s’est blessé et a été interpellé par les autorités. C’est à ce moment-là qu’il leur a montré son immunité parlementaire entraînant l’intervention du ministère des Affaires étrangères. Des diplomates étaient également de la partie.

Le député a donné sa démission au Parlement européen ce dimanche 29 novembre, deux jours après les faits, pour « raisons personnelles ». Le Parlement européen a affirmé que les règles de conduite de l’institution ne valaient pas pour la vie privée. « Si les faits devaient être établis et punissables au plan administratif ou autre par les autorités locales ou nationales, il reviendrait à ces autorités de décider des sanctions potentielles » , a indiqué un porte-parole.

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Le point sur les cas en Belgique

En plus d’être une soirée clandestine, celle-ci a eu lieu dans un contexte de crise sanitaire alors que les rassemblements sont encore interdits. Comme la France, la Belgique a elle aussi connu une seconde vague épidémique. Aujourd’hui, plus de 577 000 cas de Covid-19 ont été recensés dans le pays, ainsi que plus de 16 000 décès.

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