« La fille du charognard » : La méthode de torture la plus horrible jamais utilisée au Royaume-Uni, sous le règne du roi Henry VIII
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Cette méthode de torture, pratiquée juste après la fin du Moyen Âge, va certainement vous glacer le sang. Au terme de la séance, le sang de la victime va carrément sortir de ses yeux et de ses narines ! Continuez votre lecture pour connaître tous les détails concernant la fameuse « fille du charognard ».
Les pires techniques de torture au Moyen Âge !
Le Moyen Âge est certainement la période où les différentes techniques de torture sont apparues. Une des plus cruelles s’appelle le taureau d’Airain. Les bourreaux enferment leur victime dans une statue en fer qui va devenir leur cercueil ! Ensuite, ils l’exposent à la vue de tous avant de chauffer la base.
On dit que les cris de la victime résonnent à des kilomètres à la ronde et ressemblent à des rugissements. D’où son nom ! Une autre méthode pour obtenir les aveux d’une personne consiste à l’attacher sur une roue. Les tortionnaires utilisent ensuite une barre de fer pour briser ses os un à un.
La troisième technique de torture la plus courante à cette époque s’appelle la Vierge de Fer. Encore une fois, la victime se retrouve dans un cercueil en fer qui comporte des trous. Les bourreaux insèrent ensuite des pointes métalliques à travers les cavités. Ne pouvant pas bouger, soit la victime crache le morceau soit elle subit de graves blessures !
Il existe encore d’innombrables manières de torturer une personne. L’objectif, bien entendu, est d’obtenir des informations qu’elle ne veut pas divulguer. Même après le Moyen Âge, ce genre de pratique était encore légion. C’est le cas au cours du règne d’Henry VIII, dont les vestiges se trouvent encore dans la Tour de Londres !
Tout savoir sur « la fille du charognard » !
Déjà, le nom de cette technique de torture inspire la peur et l’angoisse. Son créateur, Sir Leonard Skevington, s’est inspiré de la méthode appelée « la fille du duc d’Exeter ». Mais au lieu d’étirer le corps de la victime, il la compresse jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus le supporter. Elle connaît alors une fin horrible !
Pour réaliser cette méthode de torture, le concepteur a fabriqué une tige métallique en forme de A. À la base, au milieu et au sommet, on observe des cavités qui servent à immobiliser la victime. Son cou, ses mains et ses pieds étant très proches, elle doit se mettre en position fœtale.
La posture à elle seule suffit à infliger d’atroces souffrances à la victime. En effet, le squelette ne peut pas supporter cette condition très longtemps. Pourtant, on est encore loin de la véritable torture ! L’appareil possède un système de vis afin de forcer la cible à s’accroupir encore plus. Et ce, jusqu’à disloquer ses articulations et briser ses os !
Les bourreaux peuvent aussi laisser leur victime dans cette position et s’en aller. Après quelques jours, son sang ne pourra plus circuler normalement et va sortir par ses oreilles et ses narines ! Si vous avez envie de jeter un coup d’œil à la tige métallique, il vous suffit d’aller dans la Tour de Londres.
Pour l’heure, les experts ne connaissent pas la fréquence d’utilisation de cette technique de torture. On pense qu’un bon nombre d’entre eux ont dû avouer leurs crimes dans l’espoir de faire cesser la douleur !
