Icône menu hamburger Icône loupe de recherche
  1. TDN >
  2. Faits divers

« Tabasse-le » Une mère violente un enfant devant l’école et demande à son fils de le frapper

Publié par Fanny Jacob le 26 Sep 2023 à 5:28
Partagez ce contenu sur Facebook
Partagez ce contenu sur Whatsapp
Partagez ce contenu sur Twitter
Partagez ce contenu par mail

Après cette vidéo insoutenable où une prof ordonne à ses élèves de frapper leur camarade de classe musulman, une mère de famille apparaît sur une vidéo où elle frappe un enfant qu’elle a obligé à s’agenouiller devant son fils à l’école.

mere enfant ecole frappe video (1)

A lire aussi : Une école rase la tête des élèves qui n’ont pas porté le voile

Une femme frappe un enfant devant son école

La vidéo du jour

Peu de temps après le meurtre de cette adolescente, tuée par deux autres jeunes filles, une mère de famille frappe un enfant devant son école. Une séquence d’une rare violence.

La scène en question a eu lieu devant une école située à Boissy-Saint-Léger dans le département du Val-de-Marne. Tout a été filmé et diffusé sur les réseaux.

Sur cette vidéo, nous voyons une mère de famille venir devant l’établissement en compagnie de son fils. Elle prend à partie un autre élève et lui impose de s’agenouiller face à son fils. Ensuite, la mère frappe l’enfant au visage devant l’école.

La femme l’a humilié avant de lui mettre un coup de poing. Une vidéo choquante qui a beaucoup fait réagir sur la toile.

https://twitter.com/rd_lk4/status/1705552921113362474

A lire aussi : Port de l’abaya à l’école : un proviseur reçoit des menaces de mort d’un parent d’élève

La femme a été arrêtée et une enquête ouverte

Interpellée pour son geste, la mère de famille a expliqué que son fils aurait été violenté par cet élève. Elle l’aurait donc vengé. De leur côté, les parents du jeune garçon ont porté plainte contre elle.

D’après le parquet, une expertise psychiatrique va être faite sur la mère. Elle est visée par une enquête pour « faits de violence sur mineur de 15 ans, suivis d’incapacité n’excédant pas huit jours », explique le parquet.

Mais ce n’est pas tout. On l’accuse aussi de « provocation directe de mineur de 15 ans à commettre un crime ou un délit, injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion et menace réitérée de violences », selon le parquet.

A lire aussi : À 8 ans, sa fille est obligée de porter des couches, car il n’y a pas de toilettes à l’école

INSCRIPTION NEWSLETTER TDN

N'oubliez pas de cliquer sur l'email de validation pour confirmer votre adresse email. Si vous ne l'avez pas recu vérifiez dans vos spams.