Elle surprend son mari en train de violer leur fille de 6 mois, le père toujours autorisé à voir son enfant !
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Sur le plateau de l’émission Ça commence aujourd’hui, présentée par Faustine Bollaert, une mère de famille a témoigné de l’inceste de son mari sur leur fille de 6 mois. Si cette mamie n’a pas fait attention aux caméras en rayant une voiture, la mère de famille a pu sauver son enfant en plaçant des caméras cachées à son domicile.
Enfin sauver… Pas tout à fait. Le mari est toujours autorisé à voir son enfant malgré les faits, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.
Son mari violait leur fille de 6 mois en son absence : Séverine témoigne
Le 20 novembre 2024 sur le plateau de Ça commence aujourd’hui, le témoignage de Séverine a bouleversé les téléspectateurs. Mère de deux enfants, elle vient témoigner des actes incestueux de son mari sur leur fille de 6 mois à l’époque.
Lorsqu’elle s’absentait, le mari faisait subir des agressions sexuelles à leur petite fille. Face au comportement étrange de son mari et « aux traces » présentes sur sa fille, Séverine a le sentiment que quelque chose ne va pas.
Pour en avoir le cœur net, elle décide de placer des caméras cachées dans son domicile. Alors que des parents ont été emprisonnés après des blagues cruelles à leurs enfants, Séverine découvre « l’horreur » . « Sur les images, on le voit deux minutes après mon départ se précipiter dans la chambre avec mon bébé dans les bras et aller prendre des sex-toys » indique-t-elle à Faustine Bollaert.
Le mari profitait donc de son absence pour s’adonner à l’inceste… Sur sa fille de 6 mois.
Toujours autorisé à voir son enfant !
Séverine appelle les gendarmes qui interviennent et interpellent l’homme en flagrant délit. L’homme est placé en garde à vue et la mère de famille porte plainte. Cependant, la plainte sera classée sans suite.
Et les conséquences sont désastreuses pour Séverine : l’auteur des viols peut encore voir sa fille. « Il a toujours l’autorité parentale » indique-t-elle. Le désormais ex-mari doit cependant se plier à des visites médiatisées. Problème : « dans le centre désigné par le juge, il n’y a pas de visites médiatisées » indique la maman.
« Ils m’ont expliqué qu’au bout de quatre visites, il serait seul avec ma fille. Il aurait le droit de sortir du sortir » ajoute Séverine. Alors pour protéger son enfant, elle bascule dans l’illégalité. En effet, elle décide de ne plus emmener sa fille au centre, et donc d’empêcher son ex-mari de la voir. « Il a déjà porté plainte pour non représentation d’enfant […] Il y aura une audience en février prochain » souligne-t-elle.
Pendant que la sanction est tombée pour Pierre Palmade, Séverine est donc coupable, aux yeux de la loi, de vouloir protéger son enfant. Alors que le mari a été filmé en train d’agresser sexuellement son enfant, la plainte est classée sans suite et ses droits parentaux ne sont pas suspendus. Une situation qui « ressemble à celle de milliers de femmes qui se mettent hors-la-loi pour protéger leur enfant » rappelle Faustine Bollaert.
