Une proche de Vladimir Poutine décède dans d’étranges circonstances
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Rédactrice en chef adjointe du journal russe préféré de Vladimir Poutine, Komsomolskaya Pravda, Anna Tsareva a été retrouvée morte dans son lit. Un décès qui questionne, la journaliste n’étant âgée que de 35 ans. Une enquête a été ouverte.
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Un journal pro-Poutine
Un décès suspect ? Rédactrice en chef adjointe depuis six ans, Anna Tsareva assumait la ligne éditoriale du média pro-Poutine. La jeune femme était d’ailleurs connue pour ses liens avec les services de sécurité.
La veille de sa mort, elle passe un coup de fil. Se confiant à son interlocuteur, elle se plaint d’une violente fièvre dont elle n’arrive pas à se défaire. Le lendemain, son père la retrouve morte dans son lit. Une découverte qui questionne.
Les médias locaux, qui se sont immédiatement emparés de l’affaire, évoquant une possible infection des voies respiratoires. Infection qui aurait ensuite entraîné un arrêt cardiaque. Mais, pour l’instant, rien n’est sûr.
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Un décès qui questionne
Selon les premières informations, l’appartement de la journaliste ne présentait aucun signe d’effraction. Ce qui écarte, de fait, la piste du décès violent. Une enquête a tout de même été ouverte.
Fortement attristée par le décès d’Anna Tsareva, la rédaction Komsomolskaya Pravda a publié un communiqué.
Dans ce dernier, elle évoque le caractère déterminé de la jeune femme. Un caractère buté, qui l’a poussé à ne pas suivre les recommandations de ses collègues, qui lui conseillaient de voir un médecin. « Elle ne tolérait jamais l’échec et était animée par une volonté inébranlable de persévérer. C’était une femme intelligente, et d’une douceur inoubliable » , rapporte-t-elle.
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