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Violences policières : Nouvelles arrestations suite à l’agression de Michel Zecler !

Publié par Elodie le 30 Nov 2020 à 10:00
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Depuis plusieurs jours, la vidéo de l’arrestation de Michel Zecler fait le tour des réseaux sociaux. Filmée par des caméras de vidéosurveillances le 21 novembre dernier, elle remet sur le tapis le sujet houleux des violences policières. Les quatre policiers mis en cause dans l’interpellation violente du producteur ont été mis en examen.

Quatre policiers mis en examen dans l'affaire Michel Zecler

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Michel Zecler passé à tabac par des agents de police

La vidéo du jour

Le 21 novembre dernier, Michel Zecler se fait surprendre par plusieurs agents de police alors qu’il rentre dans un immeuble du 17e arrondissement de Paris. Ces derniers forcent l’entrée de son studio de musique avant de s’en prendre violemment à lui. Les images de vidéosurveillances rapportent un véritable déchaînement de violences. On y voit le producteur recevoir des coups de matraque à la tête, des coups de poing au visage et même des coups de pied.

Mais les agents des forces de l’ordre ne s’arrêtent pas là, puisqu’après avoir pris la fuite en se rendant compte que le studio était occupé, ils font appel à du renfort. C’est à ce moment-là que les choses dégénèrent. Des bombes lacrymogènes sont envoyées dans le studio afin de forcer les occupants à sortir. Une fois dehors, Michel Zecler et les artistes présents dans le bâtiment (dont plusieurs étaient mineurs), sont interpellés avec violence.

Les auteurs de l’agression mis en examen

Dès la diffusion de la vidéo, les trois agents de police impliqués dans l’agression du producteur ont été suspendus. Ils ont ensuite été mis en examen avec un quatrième collègue par un juge d’instruction. Trois l’ont été pour « violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique » et « faux en écriture publique ». Le policier soupçonné d’avoir jeté la bombe lacrymogène dans le studio de musique a été interpellé pour « violences volontaires » sur Michel Zecler et les neuf jeunes qui se trouvaient dans le sous-sol.

Si au départ, le parquet a requis la détention provisoire pour les trois agents auteurs du passage à tabac et un contrôle judiciaire pour le quatrième, seuls deux des agents ont été écroués. Les deux autres ont été laissés sous contrôle judiciaire.

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