« Il n’y avait plus d’alcool » … Un homme met plusieurs coups de couteau à son beau-frère pendant un barbecue !
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C’est le printemps, et déjà dans plusieurs départements de France, on peut ressortir le barbecue. Véritable tradition lorsque le soleil pointe le bout de son nez, cet événement festif et familial peut se transformer en véritable cauchemar.
Dans le Finistère, un homme a été jugé pour avoir mis plusieurs coups de couteau à son beau-frère lors d’un barbecue en famille. La raison ? Il n’y avait plus d’alcool, et une dispute a éclaté.
Le barbecue vire au drame, un homme assène plusieurs coups de couteau à son beau-frère
Les faits se sont déroulés le 21 mars 2025, dans la commune de Briec, dans le Finistère. Le soir, quelques membres d’une famille se retrouvent pour un barbecue. Et on le sait, le barbecue, c’est une tradition. Il faut penser à tout : les chips, la viande, l’accompagnement et le dessert.
Mais lors de cette soirée, une grosse dispute éclate entre deux hommes. Les insultes pleuvent, et une bagarre éclate. Le barbecue se transforme en véritable cauchemar… Un homme prend alors un couteau et assène plusieurs coups à son beau-frère. La victime est touchée sur le crâne, au visage et au thorax, comme le rapporte La Dépêche.
Son pronostic vital a été temporairement engagé, mais l’homme va mieux. Avec une incapacité totale de travail de 10 jours, la victime se souviendra de ce barbecue familial. Mais la raison de la dispute est incompréhensible. Selon l’agresseur, la victime se plaignait du manque d’alcool.
« Il voulait encore de l’alcool, mais il n’y en avait plus »
Le 25 mars, l’agresseur a dû répondre de ses actes devant la justice. Et devant le tribunal, il indique la raison de la dispute. Lors du barbecue, ce n’est pas la viande ou la mayonnaise qui manquaient sur la table, mais l’alcool. Le beau frère se serait plaint du manque de boisson et serait devenu violent.
« Il voulait encore de l’alcool, mais il n’y en avait plus. Il m’a insulté ainsi que ma femme et mon fils, et m’a aussi frappé » indique-t-il. Âgé de 31 ans, l’agresseur n’a pas de casier judiciaire et affirme devant le juge ne pas être une personne de nature violente. Cependant, il est condamné à quatre ans de prison dont deux avec sursis. Il a interdiction d’entrer en contact avec la victime pendant trois ans.
