Mort d’Émile : son corps a été caché dans trois endroits différents, un scénario macabre se dessine
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Le mystère autour de la disparition d’Émile continue de se lever. Selon de nouvelles révélations, l’enfant aurait reçu un coup violent avant que son corps ne soit déplacé à plusieurs reprises.
La terrible blessure d’Émile
Cela fait bientôt deux ans que le petit Émile a disparu, et pourtant, l’affaire reste encore pleine d’ombres. Fin mars 2024, c’est une randonneuse qui découvre par hasard le crâne de l’enfant sur un sentier forestier du Haut-Vernet. Mais ce que l’on ignorait jusqu’ici, c’est que ce crâne n’était pas intact.
D’après les experts, le petit garçon aurait reçu un choc violent, précisément au niveau de l’attache de la mandibule. Un coup si fort qu’il aurait arraché la mâchoire inférieure d’Émile, absente lors de la macabre découverte. Cette blessure est désormais au cœur des investigations.
Mais le plus troublant est que le corps du petit Émile n’a pas simplement été abandonné en pleine nature comme certains ont pu le penser. Il aurait en réalité été déplacé à plusieurs reprises, passant par trois lieux différents avant d’être retrouvé.
Un corps déplacé à trois reprises : l’hypothèse du crime improvisé
Les analyses du biotope et des pollens relevés sur les vêtements ainsi que les ossements d’Émile ont permis de reconstituer un scénario bien plus complexe. Selon les éléments révélés par Le Nouveau Détective, le corps aurait d’abord été dissimulé à l’air libre, au Bas-Vernet, non loin du hameau. Puis, dans un second temps, la dépouille aurait été transportée dans un lieu clos, « quasi-stérile« , probablement pour éviter qu’elle ne se dégrade trop rapidement. Enfin, le corps aurait été déplacé une troisième et dernière fois sur ce sentier forestier, où la randonneuse a fait sa macabre découverte.
Face à ces éléments, une hypothèse prend de plus en plus de poids : celle d’un crime non prémédité, suivi d’un camouflage précipité. Comme si le coup porté à l’enfant avait été donné dans l’urgence ou la panique, avant que le corps ne soit dissimulé provisoirement. Puis, bien plus tard, celui ou ceux qui ont fait disparaître Émile auraient pris la décision de s’en débarrasser définitivement.
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